« La régulation sans action, c’est comme un code sans débugging — voué à planter. »
Mesdames et messieurs, préparez-vous à rencontrer Martin Casado, l’étoile brillante de la Silicon Valley et truculent partenaire général chez Andreessen Horowitz. À la TechCrunch Disrupt 2024, il ne parlera pas de la pluie et du beau temps, mais de l’épée de Damoclès du monde tech : la régulation de l’IA. Rendez-vous à Moscone West, San Francisco, du 28 au 30 octobre.
Pour ceux qui ne le connaissent pas, Casado est un pionnier du réseau défini par logiciel (vous savez, ce truc qui rend internet encore plus magique) et un as de la scène du capital-risque. Son crédo du moment ? Convaincre les startups qu’il vaut mieux prendre les devants avec la régulation de l’IA. Parce que, spoiler alerte, attendre que ça tombe du ciel, c’est un peu suicidaire.
Casado est un maître Jedi pour comprendre et naviguer dans le paysage complexe de la régulation de l’IA.
Casado nous promet de tirer des leçons de sa propre ascension fulgurante, passant d’entrepreneur à investisseur avisé. Avec des entreprises transformées en licornes à son actif, il est en pole position pour parler des opportunités et embûches qu’apporte cette fameuse intelligence artificielle. Spoiler-alerte numéro 2 : ça ne sera pas toujours une promenade de santé, mais qui n’aime pas un bon défi ?
Avec un $1,25 milliard de dollars sous sa houlette chez Andreessen Horowitz, Casado a quelques idées pour aider les entreprises à protéger leurs intérêts. Et ça ne se limite pas à forger des alliances avec des régulateurs. Selon lui, mieux vaut encore prendre son destin en main que d’attendre que la tempête passe.
Casado vous attend sur la scène des bâtisseurs pour discuter stratégie et innovation. Parce qu’après tout, jouer à l’autruche devant la régulation, c’est très 2010. Rejoignez les 10 000 leaders de la tech à Disrupt 2024 pour découvrir comment devenir un acteur, et pas un simple spectateur, du futur de la technologie. Et tant qu’à faire, prenez votre billet maintenant, prix d’ami, avant que ça n’explose à la porte !
Un sage a dit un jour : « Mieux vaut prévenir que coder… euh, guérir. »
Source : Techcrunch