A group of trees with no leaves on them

Credits image : Peter Ralphski / Unsplash

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DAC Attack, la capture à tout prix !

“Il n’existe pas de carte ‘Libéré de prison’ quand il s’agit du changement climatique. Mais un joker, peut-être.” – Citation anonyme

Vous pensiez que la capture du dioxyde de carbone était une mission impossible? Détrompez-vous! Si la planète brûle, plusieurs startups préparent leur costume de pompier. Notre héros du jour : la capture directe de l’air, ou Direct Air Capture (DAC) pour les intimes.

Imaginez une technologie aspirant le dioxyde de carbone de l’air, tel un aspirateur Dyson, mais pour la planète. Cette idée, séduisante sur papier, se heurte pourtant à un obstacle de taille : le coût. Actuellement, chaque tonne de carbone capturée coûte entre 600 et 1000 dollars, un tarif digne d’un billet en première classe pour la ruine.

La capture directe de l’air, une idée alléchante en quête d’une étiquette prix allégée.

Pour rendre la chose viable, des startups rivalisent d’ingéniosité pour réduire ces coûts à moins de 100 dollars la tonne. Parmi elles, des géants comme Climeworks et Carbon Engineering, qui misent sur la production de masse. L’idée? Utiliser des sorbants pour capturer le CO2, puis la chaleur pour le libérer et le stocker. Un plan de bricolage de luxe, en somme.

Mais certains pensent que l’échelle ne suffira pas à résoudre le problème. Malte Feucht, le gourou de Phlair, une jeune pousse du DAC, soulève un point crucial. Selon lui, j’ai nommé le « régénération thermique », c’est l’obstacle le plus énergivore. Pour capturer 10 gigatonnes de CO2 par an avec cette approche, il faudrait presque toute l’électricité du globe. Un casse-tête électrique.

Phlair propose une alternative en s’inspirant de l’industrie de l’hydrogène. Leur « hydrolyzer » produit des acides et des bases pour capter le CO2 sans chauffer le sorbant. Simplissime, non? En utilisant cette méthode astucieuse dite du « balancier de pH », leur solution promet de diviser les coûts comme Moïse divisa la Mer Rouge.

Au-delà de l’innovation, Phlair entrevoit de grands projets. Leur pilote pourra capturer 10 tonnes de CO2 par an, et de plus grosses installations prévues pour 2025 pourront capturer 260 tonnes. Ces projets, financés par une levée de fonds de 12 millions d’euros, impliquent des géants comme Alphabet et Meta. L’avenir du climat se joue donc, en partie, dans les mains de ces startups intrépides.

Comme un bon film avec un twist final, Phlair et d’autres entreprises de DAC visent à faire ce que nous faisons déjà avec les eaux usées : traiter et recycler. Le changement climatique est peut-être un méchant coriace, mais avec des solutions ingénieuses comme celles-ci, nous avons plus qu’une chance de le battre dans son propre jeu. Et pour finir sur une touche grinçante : Espérons que de l’air capture, nos problèmes climat se fera capturer!

Source : Techcrunch

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