gray and white concrete house

Credits image : Dillon Kydd / Unsplash

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Fillmore Street, à votre guise!

« Tout est possible, vous devez simplement y croire » – Presque Proverbe

Ah, Fillmore Street, ce coin charmant de San Francisco qui fait parler les bâtisseurs et les politiciens. Ce bon vieux Neil Mehta, co-fondateur de Greenoaks Capital et VC influent, est au centre d’une tempête immobilière. Disons qu’il n’a pas acheté quelques briques, mais carrément des pâtés de maisons ! Cela a fait grincer des dents certains politiciens locaux comme Aaron Peskin, qui ne manque pas une occasion de le mettre au pilori pour soi-disant « déplacer des commerces de longue date ».

Mais attendez, ce n’est pas juste une histoire d’immobilier et de sous. Neil Mehta a rédigé un article d’opinion pour le San Francisco Standard, nous expliquant qu’il est là pour redonner à la ville qui lui a tant offert. On peut dire que c’est sa version de « super-héros de l’immobilier ». Selon Mehta, il ne cherche pas à se faire de l’or sur le dos des petites boutiques. Il affirme que ces propriétés sont achetées via un fonds immobilier appuyé par une organisation à but non lucratif à laquelle il a personnellement versé 100 millions de dollars. Rien que ça !

Monsieur Mehta aurait donc « zéro intérêt financier » dans ces propriétés, ne « recevra rien en retour » et réinvestira tous les bénéfices dans la communauté. On est loin du cliché du magnat de l’immobilier cupide, si l’on croit ses dires. En d’autres termes, il est là pour revitaliser, moderniser et faire briller Fillmore Street comme jamais. Une sorte de version moderne et riche du « Robin des Bois »? Peut-être.

Quand on gratte le vernis, l’histoire n’est pas toujours ce qu’elle paraît être.

Pourtant, les opposants comme Aaron Peskin, qui tente actuellement sa chance pour le poste de maire, ne sont pas convaincus. Pour eux, ces achats massifs rappellent plus une partie de Monopoly grandeur nature qu’un acte d’altruisme désintéressé. Peur des déplacements, peur des changements, ou peut-être juste peur de perdre leur quartier tel qu’ils le connaissent ? Les opinions divergent, et les tensions montent. La bataille entre les anciens et les nouveaux acteurs de Fillmore Street ne fait que commencer.

En attendant, Fillmore Street attend de voir si tout ce bruit accouchera d’une rue pleine de vie ou de projets sans âme. Une chose est certaine, Neil Mehta ne passe pas inaperçu. À suivre… Et souvenez-vous, le seul « levain » qui ne fait pas lever de la pâte, c’est de croire que votre opinion n’a pas d’impact !

Source : Techcrunch

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