« Dans l’univers des jeux vidéo, même les parcs d’attractions peuvent transformer un sourire en cri d’horreur ». Voilà ce qui résume parfaitement l’expérience bizarre que nous propose Crow Country, la perle terrifiante développée par SFB Games. Surprise macabre, le jeu s’apprête à faire couler de l’encre sur la Nintendo Switch à partir du 16 octobre. Durant ce mois dédié aux citrouilles effrayantes, quoi de plus approprié qu’un plongeon dans l’effroi pixelisé ?
Certains diront que Crow Country ressemble à un Animal Crossing vieilli par l’oubli numérique, avec ses graphismes légers, presque enfantins. Mais ne vous y trompez pas, ce comfort-food visuel a ce petit quelque chose qui vous donne la chair de poule. L’héroïne, Mara Forest, n’est pas venue planter des choux, mais explorer les ruines d’un parc d’attractions abandonné où il n’y a plus que les ombres de la disparition mystérieuse de son propriétaire, Edward Crow. Vous en doutez ? Regardez la vidéo plus haut et venez nous en parler… si vous osez !
La critique Cheyenne MacDonald de Engadget souligne que Crow Country ne se contente pas de vous donner des sueurs froides ; il réussit à être à la fois « cocooning » et ténébreux. Inspirés des classiques du survival horror de la PS1 comme Resident Evil et Silent Hill, les monstres qui y hantent sont l’ingrédient parfait pour vous faire perdre le sommeil. Avouez que le concept du « confort terrifiant » est aussi étrange qu’intriguant !
Mélangez « cozy » et « horror », et voilà le cocktail qui fait mouche : Crow Country.
Cette petite merveille du malaise vidéoludique est aussi disponible pour ceux qui préfèrent la manette à vapeur sur Steam, ou pour les inconditionnels de la PlayStation 5 et Xbox X/S. Alors, pas besoin de courir les cimetières numériques pour en profiter : l’horreur est à portée de clic.
En guise de dernier mot, souvenez-vous qu’avec Crow Country, chaque balade dans le parc marque votre esprit d’une empreinte indélébile de mystère et d’effroi. Alors prêt à faire un tour de grand huit avec vos nerfs ? Une chose est sûre, à Crow Country, les corbeaux ne rient pas, ils croassent… et c’est nous qui frémissons.
Source : Engadget