a full moon is seen in the dark sky

Credits image : Bernd 📷 Dittrich / Unsplash

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À quel coût s’établira la conquête du pôle sud lunaire?

Quel défi gigantesque la NASA doit-elle relever pour explorer les contrées glaciales et obscures du pôle sud lunaire? Les investigations conduisent à des cratères ombragés depuis des milliards d’années, où les températures atteignent des creux inimaginables de moins de 334 degrés Fahrenheit, triplant le froid record de l’Antarctique. Quelle technologie de pointe protègera les astronautes de ces extrêmes?

Les astronautes de cette mission audacieuse seront équipés de nouveaux scaphandres lunaires, un bond technologique par rapport aux combinaisons Apollo d’il y a plus de cinquante ans. Dévoilées par Axiom Space et Prada lors du Congrès International d’Astronautique à Milan, ces tenues futuristes seront à l’épreuve des extrêmes. Mais que se cache-t-il derrière cette collaboration inattendue entre l’industrie spatiale et la haute couture?

N’est-ce pas fascinant comment Peggy Whitson, astronaute chevronnée avec 675 jours dans l’espace, a apporté son expertise au processus de test et de conception? C’est une preuve de l’importance cruciale de la pertinence scientifique et technique intégrée au design. Comment cela se traduira-t-il sur le terrain lunaire où l’exploration scientifique ne manquera pas de confronter ces tenues à des atmosphères inédites?

« Ces dépôts glacés pourraient contenir des ressources vitales pour les explorateurs futurs, y compris de l’eau pour la protection contre les radiations, de l’air, de l’énergie et même du carburant pour fusées ! »

L’enjeu des explorations de la mission Artemis III, prévue pour septembre 2026, est de taille. Les astronautes examineront les pôles glacés lunaires pour y découvrir des dépôts de glace vitaux, allant bien au-delà des régions ombragées de ce monde exogène. Mais que pourrait révéler une glace si bien préservée, ignorée depuis des siècles, sur les énigmes profondes de notre satellite naturel?

Avec la promesse de révolutionner la manière dont nous approchons l’exploration spatiale, ces combinaisons permettrons aux astronautes de résister aux froids extrêmes des régions ombragées grâce à une ingénierie qui autorisera des sorties de huit heures dans le vide spatial. Pourtant, quels seront les défis pratiques à surmonter pour rendre ces scénarios opérationnels?

Axiom, fort de son contrat colossal de 1,26 milliard de dollars, a prévu des tests vitaux, simulant l’environnement lunaire aquatique et de gravité réduite. Cette phase prépare les combinaisons aux conditions infernales de la surface lunaire, où des températures de 130 °F sur les crêtes et une poussière abrasive posent des risques redoutables. Combien cela coûtera-t-il en fin de compte, tant sur le plan financier que technologique, de rendre cette vision de l’exploration lunaire une réalité tangible?

Si l’ambition ultime est d’établir une présence permanente sur la Lune, la question fondamentale demeure : combien coûtera ce nouveau chapitre de la course à l’espace?

Source : Mashable

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