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Credits image : Barbara Zandoval / Unsplash

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AI-llegra et la Grande Poursuite des Contenus

« La technologie, c’est formidable, jusqu’à ce qu’elle devienne l’adversaire dans une nouvelle version de ‘Qui veut gagner des millions?’ sans qu’on ait été invité à jouer. »

Avec ses lunettes de geek et sa passion pour l’open source, News Corp, la maison mère du Wall Street Journal et du New York Post, a décidé de ferrailler contre Perplexity, une startup tech montante. L’accusation lancée? Que Perplexity plongerait gaiement dans la mine d’or des contenus protégés, en sortant les pépites d’informations pour fabriquer ses propres réponses, à tel point que ses utilisateurs pourraient « sauter les liens » et ne jamais entrer sur les sites des créateurs originaux. Un nouveau sport olympique, vous dites?

Le monde d’IA semble avoir inventé l’idée du « lien à péage »: le clic ici, c’est payant, chéri!

Mais attendez, ce n’est pas la première fois que Perplexity se fait pointer du doigt par le vigoureux club de protection des contenus. Des géants comme Forbes et le New York Times ont aussi décoché quelques flèches bien senties pour « plagiat et grattage web non éthique ». Ouh là là, on dirait un épisode de « Law & Order » sur l’Internet!

Du côté de Perplexity, c’est le syndrome de la pastèque sous le chapeau : ils préfèrent décrire leurs outils de collecte de données comme un gentil index. Quelque chose qui murmurerait à l’oreille de leur algorithme pour l’aider à répondre aux questions comme un pro. L’avenir nous dira si cet index est aussi innocent qu’une comptine pour enfants ou si c’est plutôt un grand huit de manège trouillard pour le droit d’auteur.

Et que pense le tout puissant News Corp? Leur chef, Robert Thomson, a entrouvert le rideau pour complimenter OpenAI, tout en ajustant sa cravate pour menacer Perplexity de manière poétique : « On préfère charmer que poursuivre en justice, mais si c’est à cela que se résume notre danse avec l’IA, alors tant pis pour les tangos! » Peut-être News Corp a-t-il un penchant pour les procès où l’on espère récolter pas moins de 150 000 dollars par infraction – de quoi acheter beaucoup de lunettes contre l’éblouissement de leurs journalistes.

Les attentes du procès sont hautes, et les rêves de blockbuster judiciaire ne sont pas loin, avec la perspective de remodeler à jamais les règles du jeu de l’IA. Après tout, qui ne voudrait pas être celui qui « casse le jouet » et fixe les règles avant la prochaine révolution technologique?

Voilà donc une affaire pleine de suspense, où le frisson du numérique rencontre la froideur du droit. Mais peut-être que toute cette agitation n’est que le prélude à une blague cosmique. Comme un célèbre comédien pourrait le dire : « Pourquoi le droit d’auteur a poursuivi l’IA? Pour mettre ses données dans le bon terabyte! »

Source : Techcrunch

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