« Dans le monde de la tech, la seule constante, c’est l’update. » Et si on parlait de l’énigme milliardaire qui se trame entre Microsoft et OpenAI ? Car oui, le buzz du moment, c’est bien la transformation prochaine d’OpenAI en société à but lucratif, une situation qui met les deux camps sur les charbons ardents pour finaliser les modalités. Entre equity et droits de gouvernance, ça bastonne sec sur le cloud !
Selon le très sérieux Wall Street Journal, Microsoft et OpenAI ont embauché des banques d’investissement pour discuter des parts colossales qui fument dans l’air. On parle des fameuses parts de Microsoft… ou de la tour Eiffel, on a un doute ? Les rumeurs disent que le géant de Redmond aurait déjà pompé presque 14 milliards de dollars dans le futur public benefit corporation. Et devinez quoi : en octobre dernier, OpenAI est devenu la startup la plus hot en sandwich entre Microsoft et SpaceX, avec une valeur de 157 milliards, s’il vous plaît !
Détail qui croise encore plus l’intrigue, ce feuilleton colossale doit aussi démêler la question de l’equity pour Sam Altman et ses acolytes d’OpenAI. Imaginez le joyeux bazar : en un tour de magie mécanisé, OpenAI passera sous la houlette d’une entité philanthropique avec une mini-part dans la nouvelle société lucrative. Comme quoi, croître en capital tout en gardant un petit bout de cœur, c’est possible !
Ensemble, Microsoft et OpenAI voyagent à travers le temps et l’equity, en quête du précipice doré !
Et comme les coups de théâtre ne manquent jamais dans cet épisode électrique, voilà que Greg Brockman, l’autre cerveau derrière les rideaux d’OpenAI, prépare son grand comeback après avoir mis les voiles pour une pause café clandestine chez Anthropic. Prévu pour novembre, son retour en force promet des réglages high voltage dans les négociations.
Alors, face à cette intrigue si dense qu’elle défie la fibre optique, on vous laisse méditer : dans une ère où les zeros et les uns deviennent milliards et vice-versa, l’IA pourrait bien finir par réécrire les règles de la bulle financière. Ou du moins jusqu’à ce qu’une autre startup décide de changer de style… Peut-être pour finir, pourrait-on dire que Microsoft et OpenAI sont comme une équation non résolue : tant que l’equity en devient une valeur ajoutée (ou multiple), il leur reste quelques bugs à déboguer avant la mise en production finale.
On finit, comme toujours, avec un clin d’œil geek : pourquoi les experts en IA ne jouent-ils pas au poker ? Parce qu’ils détestent les « bluffeurs » et préfèrent l’open source aux pots cachés !
Source : Techcrunch
