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Credits image : Ales Nesetril / Unsplash

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Quand l’IA prend la route des rapports

« En voiture, Simone ! », disait ma grand-mère. Mais pour Daniel Francis, fondateur d’Abel, monter dans une voiture de police n’est pas qu’une simple balade. Comme dans un polar californien, Francis se retrouve lancé à 135 miles à l’heure sur une autoroute d’Oakland, en compagnie d’un policier armé. Mais ne vous méprenez pas, cette course-poursuite n’est pas là juste pour l’adrénaline…

Francis s’embarque dans ces aventures pour tester ses algorithmes. Abel, son entreprise, est spécialisée dans le développement d’une intelligence artificielle destinée à rédiger les rapports des forces de l’ordre. On pourrait croire que ses trajets en voiture de police sont tranquilles, mais le jour où un suspect a tenté de s’échapper, la situation a pris une tournure cinématographique. Au milieu de cet imbroglio, Francis songeait déjà à la difficulté pour une IA de rendre compte d’une telle course.

Lors d’un tête-à-tête avec le bitume et les voitures garées, Francis s’est questionné sur la lourdeur des rapports de poursuite en voiture. Répertorier chaque rue, chaque virage, c’est du lourd. Pourtant, ce n’est pas le danger qui l’a effrayé, mais la perspective d’améliorer sa technologie pour simplifier cette tâche fastidieuse. C’est ainsi qu’après vingt sorties en voiture avec la police, Francis a réussi à lever cinq millions de dollars pour continuer à affiner son IA et simplifier la vie des policiers. Une bonne résolution pour 2024, n’est-ce pas ?

Entre l’adrénaline des courses-poursuites et le stress des réseaux sociaux, Francis a trouvé son nouveau créneau : alléger les paperasses policières grâce à l’IA.

Francis ne s’est pas toujours intéressé aux forces de l’ordre. Sa carrière a connu un virage à 180 degrés lors d’un événement personnel poignant. Après avoir aidé une amie dans le besoin à échapper à une situation périlleuse, il a découvert la lenteur de la bureaucratie policière. Cette expérience lui a ouvert les yeux sur l’absurdité du temps passé à rédiger des rapports. Qui aurait cru que de longues interventions policières pourraient inspirer une telle innovation technologique ?

Abel est désormais à l’œuvre dans les rues californiennes de Richmond, offrant aux policiers la possibilité de se concentrer davantage sur leur mission première. Et le meilleur dans tout ça : Francis en est bien plus détendu que lorsqu’il travaillait pour Elon Musk chez Twitter. Ce n’est pas qu’Elon soit terrifiant, mais bon, les courses-poursuites ont un certain charme comparativement…

Avec Abel, Francis espère alléger le fardeau administratif des policiers, leur permettant de se recentrer sur leurs véritables engagements. Dans un monde où les concurrents ne manquent pas, Abel semble avoir trouvé la bonne formule pour rendre la vie des agents de la paix légèrement moins stressante. Car après tout, mieux vaut un cerveau en paix qu’une prise de tête, n’est-ce pas ?

Et pour finir en beauté, restons dans la thématique de la course : dans la course à l’innovation, ne serait-il pas temps que l’on mette le pied sur l’accélérateur pour alléger les poids morts de la bureaucratie ?

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Source : Techcrunch

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