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Credits image : Ricardo Gomez Angel / Unsplash

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Touchez pas à mon soleil, mais attention aux chocs électriques !

« Le soleil est notre star, mais attention aux éclats de son humeur ! » C’est avec cette déclaration lumineuse que nous entamons notre exploration solaire du jour. En effet, notre bonne vieille étoile, tapie au cœur du système solaire, promet de faire des siennes dans l’année à venir selon la NASA.

Vous l’avez deviné, le soleil entre dans sa période de « maximum solaire », un grand show inclus dans son cycle solaire de 11 ans. À vos lunettes, car bien que cette phase permette d’admirer les éblouissantes aurores boréales, elle nous expose aussi à plus de tempêtes solaires. De quoi mettre du piment dans nos systèmes électriques et nos communications, à défaut de nos repas.

Comme le précise la NASA sur les réseaux sociaux, « C’est officiel : nous avons atteint la phase maximale solaire ! Préparez-vous à voir des éruptions solaires, des aurores, et bien plus encore ». Un observatoire qui s’apparente au suivi rigoureux des saisons cycloniques, mais pour l’espace. Mark Miesch, scientifique du centre de prévision météo spatiale de la NOAA, confirme : « C’est l’équivalent spatial de la saison des ouragans. Nous entrons dans une nouvelle. »

L’activité solaire ne nous chauffe pas seulement comme une tartine toastée ; elle joue aussi les artistes avec ses aurores.

Comment les experts anticipent-ils ce « big bang » solaire ? Ils observent les taches solaires, ces zones plus fraîches à la surface du soleil, annonciatrices de possibles éruptions solaires. Ainsi, plus il y a de taches, plus ça s’agite dans notre étoile préférée. De quoi faire danser notre planète au rythme de ballets lumineux à base de particules énergétiques.

D’ailleurs, 2024 a déjà vibré au rythme de spectacles célestes inédits, avec des aurores boréales aussi imprévisibles que leur créateur. Selon une déclaration de la NASA, en mai 2024, une rafale de grandes éruptions solaires et d’éjections de masse coronale a engendré la plus forte tempête géomagnétique depuis deux décennies — potentiellement l’une des plus flamboyantes en 500 ans.

Il est crucial de se rappeler que toutes ces festivités lumineuses ne sont pas sans conséquences pour notre quotidien terrestre. Des explosions solaires de type fusées éclairantes ou des éjections de masse coronale, non contentes de nous éblouir, peuvent sérieusement perturber nos réseaux électriques et satellites. Souvenez-vous de l’éruption en 1989, qui plongea le Québec dans le noir… pas vraiment le genre de blackout qui invite à la fête.

Pour finir, une bonne nouvelle ! Les experts de la météo spatiale, comme ceux de la NASA ou de la NOAA, sont là pour nous alerter des tempêtes solaires à venir. Prêts à désactiver temporairement les réseaux électriques pour éviter de griller notre civilisation, ils veillent sur nous, même si le soleil décide de nous faire son numéro de bolide hyperactif.

Alors, amusez-vous avec les prochaines aurores, mais souvenez-vous : quand le soleil joue son plus grand opéra avec des milliards de tonnes de matière solaire expédiées à grande vitesse, mieux vaut ne pas lui causer d’éclipse !

Source : Mashable

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