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Credits image : Maxim Tolchinskiy / Unsplash

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Quand l’IA s’en mêle, l’art fait appel

« Un ordinateur une fois m’a battu aux échecs, mais il ne m’a pas pris au ping-pong. » Sauf que cette fois, il semblerait que les ordinateurs s’acharnent sérieusement sur le terrain de jeu des artistes, écrivains, et musiciens. Tirons la sonnette d’alarme : Kevin Bacon, Kazuo Ishiguro, Robert Smith et Sidney Blumenthal montent au créneau avec pas moins de 11 500 créatifs. Leur message ? Pas touche à nos œuvres pour l’entraînement des IA !

Fini de rigoler, le groupe se lève vent debout contre l’utilisation non autorisée de leur travail pour nourrir ces algorithmes affamés de nouveauté. « C’est une menace injuste majeure pour nos sources de revenus, et ça doit cesser ! » Voilà le cri d’alerte. Leurs créations, ce ne sont pas des grignotines pour IA, mais bien le fruit de leur labeur.

Dans les coulisses du théâtre législatif, on se presse à chercher des solutions. Le Royaume-Uni a récemment confié ses réflexions au Financial Times, et ça parle d’un modèle « opt-out » pour éviter la moissonneuse-batteuse numérique sur les contenus. Bref, adieu le consentement par défaut, après tout, pourquoi ne pas faire un peu de ménage dans ce bazar informatique !

Monitorer les IA, c’est comme garder les moutons : mieux vaut le faire avant qu’ils ne s’échappent.

À la tête de cette révolte artistique, nous retrouvons Ed Newton-Rex. Compositeur britannique et ex-dirigeant de Stability AI, il a sonné le rassemblement. Selon lui, critiquant à haut volume, les compagnies d’IA ont la fâcheuse tendance de « déshumaniser » les œuvres en les réduisant à de simples « données d’entraînement ». Ah, l’angoisse d’un avenir où notre chef-d’œuvre n’est qu’un 1 et un 0.

Cette pétition, orchestrée comme une symphonie de doléances, lorgne sur l’avenir même de la créativité. Car si l’art est un morceau de l’âme, l’IA semble bien décidée à lui ôter son essence. Les créateurs résolus mettent en garde et espèrent que leur voix ne sera pas réduite au silence par les clics frénétiques des claviers IA.

Alors que les gouvernements examinent les moindres pixels de ce problème, les signataires espèrent secrètement qu’un petit miracle viendra désamorcer la situation. L’art, c’est sérieux, mais une poignée de vent et d’optimisme ne fait jamais de mal. Allez, espérons que les politiciens sauront faire preuve de créativité dans leurs solutions !

Comme dirait un ordinateur, « Les artistes ne sont pas faits pour être mis en boîte… sauf quand elle est bien sonore ! »

Source : Techcrunch

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