L’éducation est l’arme la plus puissante que vous puissiez utiliser pour changer le monde, disait Nelson Mandela. Et si on utilise un oboe pour y arriver ? Mais pas un instrument de musique, un startup audacieuse!
Les entrepreneurs en série Nir Zicherman et Michael Mignano, qui ont auparavant vendu Anchor à Spotify pour une jolie somme, sont de retour avec une nouvelle idée en tête. Leur nouveau projet, baptisé Oboe, vise à transformer le paysage éducatif grâce à l’IA avec un modeste coup de pouce de 4 millions de dollars. Leur but ? Démocratiser l’accès à la connaissance, un peu comme ils ont démocratisé le podcasting avec Anchor. Allez, ouvrez vos oreilles!
Après un petit break post-Spotify, Zicherman s’est retroussé les manches pour révéler Oboe. Inspiré par son expérience en livres audio chez Spotify, il cherche à rendre l’apprentissage aussi répandu qu’une chanson pop. Mais attention, ici pas question de simples livres audio. L’approche est bien plus dynamique! Oboe propose des « parcours d’apprentissage actifs » qui s’adaptent aux besoins individuels, grâce à des outils inspirés par l’IA. On triche un peu, mais pour l’excellence!
Imaginez un orchestre de connaissances, où chaque instrument joue une note pour bien apprendre.
Alors, qu’est-ce qui différencie Oboe des autres? L’utilisation ingénieuse de l’IA bien sûr. Avec un soupçon de synthèse vocale IA et un backend sophistiqué, Oboe promet une personnalisation poussée du contenu. Finies les excuses comme « je n’ai pas le temps de lire », grâce à Oboe, l’apprentissage devient portable, interactif et, osons-le dire, amusant!
La startup veut éviter les problèmes de hallucinogénèse de l’IA (oups, hallucination pardon), et se concentre sur la fiabilité des informations et leur côté stimulant. Avec quelques modèles d’IA externes mais surtout beaucoup de R&D interne, ils construisent une architecture qui promet d’être aussi harmonieuse qu’une symphonie. C’est sûr, il y a de la technique sous le capot, nous tease Zicherman.
Oboe débute avec quelques verticaux, de la programmation pour l’autodidacte au soutien universitaire pour les étudiants curieux. Toutefois, le grand rêve demeure : rendre l’humanité plus intelligente. Un défi ambitieux mais qui résonne bien avec le nom Oboe, aussi pièce maîtresse du mot japonais pour apprendre.
La société, basée à New York, garde encore quelques mystères mais déjà elle attire un éventail enviable d’investisseurs. Michael Mignano reste impliqué en tactile mode sur le tableau de bord, tandis que Nir porte le chapeau du CEO. Ensemble, ils continuent de jouer leur partition devant un parterre de capitaux impliqués et visionnaires.
Avec un coup d’archet de 4 millions de dollars mené par Eniac Ventures, rejoints par une brochette d’autres chefs d’orchestre du Venture Capital, Oboe promet de faire mouche. Alors à quoi pourrait-on s’attendre ? Tel un maestro, préparez-vous à apprendre de vos propres rythmes grâce à Oboe.
On dit que l’orchestre est guidé par l’Oboe. Dans ce cas, l’avenir est plein de promesses – et de notes de musique, bien joué!
Source : Techcrunch
