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Credits image : Boris Smokrovic / Unsplash

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FutureNet ou L’art de rester zen en crypto

« La crypto, c’est comme cette vieille tapisserie chez mamie : c’est parfois compliqué de la démonter, mais on découvre toujours quelque chose derrière. »

Bienvenue dans le monde un peu fou de la cryptomonnaie et de ses mésaventures toujours aussi captivantes. Ce mois-ci, c’est Roman Ziemian, gourou de FutureNet, qui s’est retrouvé face aux douaniers de justice, apparemment accusé d’avoir soustrait à ses victimes la modique somme de 21 millions de dollars. Si pour Molly White, administratrice de Web3 Is Going Just Great, cette nouvelle attrape-nigaud n’était qu’une routine bien huilée, d’autres choses allaient se tramer dans l’ombre.

Molly, véritable gardienne de la vérité numérique, consigne les arnaques crypto comme d’autres collectionneraient les papillons rares. Pourtant, la toile allait se resserrer autour d’elle d’une manière inattendue. Quelques jours après la publication de son article, une auto-proclamée société de gestion de réputation a tenté de faire disparaître ses publications sur FutureNet. Quand ils lui ont offert 200 dollars pour retirer son post, elle a répondu avec un refus éclatant, un geste sûrement aussi vif qu’un chat refusant de prendre un bain.

Même lorsqu’on met 500 dollars sur la table, Molly White ne se laisse pas acheter.

Face à l’échec de la tentative de « réputation management », un dénommé Michael Woods, prétendument avocat, entre en scène, exhibant la DMCA comme un cow-boy brandit ses colts: le contenu du post aurait été plagié d’une obscure plateforme Blogspot. Avec autant de véracité qu’un calendrier maya, le site de Woods se pavane avec des articles qui sentent bon l’essor de l’intelligence artificielle.

Comme on pouvait s’y attendre, l’adresse de Woods n’existait que dans un espace aussi vide que l’intérieur d’un pain au chocolat pas assez gonflé. Quant à son existence légale, un petit coup d’œil au registre des avocats nous apprend qu’il est aussi immatériel qu’un email qu’on n’aurait jamais envoyé. Et malgré les tentatives de contact de TechCrunch, Woods est aussi injoignable qu’un appel en plein vol.

Finalement, le mot de la fin revient à White, qui déclare avec fermeté que si elle est toujours prête à corriger des erreurs, elle ne se laisse pas influencer par ceux qui n’apprécient pas sa prose. Imaginez si elle cédait : on pourrait presque l’appeler « la site en chantier » !

Derrière la farce, une morale : « À courir après trop de cryptos, on peut finir dans une drôle d’histoire d’oseille ! »

Source : Techcrunch

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