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Credits image : Christina Deravedisian / Unsplash

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Les réseaux (mais pas sociaux) s’enchaînent!

« Quand on dit que l’ennui tue, on n’avait pas encore essayé le coup du silence numérique. »

Le Premier ministre australien, Anthony Albanese, a récemment annoncé son intention de bannir l’accès aux réseaux sociaux aux moins de 16 ans. En gros, il veut mettre fin à l’ère des selfies adolescents et des vidéos TikTok en proie à l’acné. Albanese a clairement exprimé que « les médias sociaux nuisent à nos enfants, et je sonne la fin de la récré ». Un projet de loi qui ne laisse pas de place au doute : ici, pas de consentement parental possible pour contourner la règle. Si vous avez moins de 16 ans, basta, ciao!

Cette initiative entrera au parlement cette année, et, si elle est adoptée, prendra effet un an après. Cela mettra la responsabilité directement sur des plateformes comme Instagram, Facebook, TikTok, X, et possiblement YouTube, pour forcer les portes aux jeunes intrépides. L’idée n’est pas sans rappeler une certaine tendance mondiale où d’autres pays se penchent aussi vers des lois protectrices. Dernièrement, le Premier ministre norvégien a annoncé, tout sourire, vouloir relever l’âge minimum à 15 ans contre 13 auparavant, prouvant que l’Australie n’est pas seule à vouloir ralentir la danse des pouces sur écran.

Le choix australien pourrait sembler draconien pour certains, demandant si ce n’est pas effectivement les parents qui devraient être au cœur de l’encadrement de leurs têtes blondes. Mais Albanese campe sur ses positions : pas d’exceptions, pas d’échappatoires familiales. Un véritable crêpage de chignon 2.0, mais sans perruque ni smartphone pour le clash.

Ce projet impose un silence numérique, espérant qu’il éclipse la tentation virtuelle.

D’autres pays suivent la vague. Tandis que la Norvège joue la carte de la montée en âge, espérant protéger les jeunes cerveaux des stratégies mercantiles des géants tech assoiffés de profits. Ces initiatives énergisent un débat mondial : peut-on vraiment protéger la jeunesse en limitant seulement l’accès aux réseaux sociaux? Ou faut-il repenser l’éducation numérique dès le plus jeune âge? La réponse pourrait bien être entre les pouces des utilisateurs les plus jeunes…

Et souvenons-nous, l’ironie de tout cela, c’est que le monde virtuel refuse de se conformer aux lois de la gravité. Alors qui sait ? Peut-être que ces jeunes déserteurs se tourneront vers autre chose, comme la lecture! Mais chuuut, ne spoilons pas la fin!

Source : Techcrunch

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