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Credits image : Julian Ebert / Unsplash

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Un meurtre pas très « app »étissant

« La vérité est parfois plus étrange que la fiction, sauf quand on se trouve dans un épisode de votre série policière préférée. » Voilà comment on pourrait introduire cette affaire rocambolesque qui secoue la Silicon Valley. Notre scène : San Francisco. Le script improbable : un crime qui, 19 mois après, continue de captiver la techno-galaxie.

L’histoire débute avec le choc de l’assassinat de Bob Lee, figure emblématique du monde des nouvelles technologies. Ce qu’on pensait être un simple fait divers lié à l’insécurité urbaine s’est transformé en un thriller à tiroirs. Nima Momeni, le suspect principal, est sur le banc des accusés. Et disons que la juridiction n’a pas eu besoin de Netflix pour en faire une série captivante.

Le procès dévoile les éléments croustillants d’une escapade de deux jours où se mêlent sexe, drogues et trahisons. C’est digne des plus grands polars, avec en vedette Khazar Momeni, la sœur de l’accusé, et son rôle pivot. Les jurés ont eu droit à un défilé de rebondissements : d’un prétendu ami dealer, des rumeurs d’agression sexuelle, jusqu’à un coup de couteau porté par le protagoniste de cette triste affaire.

Qui aurait cru que la mort de Bob Lee dévoilerait autant de secrets, dignes des scénarios les plus alambiqués de « Law & Order » ?

Les apparences étaient décidément trompeuses car, non, ce n’était pas une mésaventure liée à un sans-abri à San Francisco. Les preuves s’accumulent : des téléphones jetables, une BMW revendue furtivement, et même des vidéos compromettantes tournées dans un club social ultra-prisé. Autant dire, nos enquêteurs auraient de quoi en perdre leur latin !

La suite du procès promet d’être aussi alléchante que le dernier cliffhanger de votre série préférée. Entre révélations choc et espoirs de justice, tous les ingrédients pour que les spectateurs soient tenus en haleine. Espérons juste que la conclusion nous surprendra comme une fin digne de Hitchkock !

Et pour conclure cette incroyable histoire, disons qu’il y a définitivement du code à revoir… mais pas celui de votre appli, celui de la morale de nos histoires humaines. Comme quoi, parfois, c’est la « tech » qui nous « hacker » le cœur !

Source : Techcrunch

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