Matrix movie still

Credits image : Markus Spiske / Unsplash

BlockchainCryptoIntelligence ArtificielleTechnologie
0

Elon contre AI : Qui tire les ficelles ?

“La vie est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber.” Mais dans notre histoire, Elon Musk semble avoir déballé une boîte pleine de surprises juridiques.

Elon Musk, le maestro des milliardaires, a encore une fois ajouté une touche dramatique à son spectacle juridique. Après avoir mis en pause son procès contre OpenAI en juillet, il l’a relancé en août, cette fois en agrandissant le cercle de ses accusés pour inclure Microsoft, Reid Hoffman (co-fondateur de LinkedIn) et Dee Templeton, ex-dirigeante de Microsoft et membre du conseil d’administration d’OpenAI. Quel vaudeville !

Aux côtés de Musk, on trouve maintenant Shivon Zilis, exécutive de Neuralink et ancienne membre du conseil d’administration d’OpenAI, ainsi que la société xAI de Musk, dans ce que certains pourraient appeler une attaque en double file.

Quand les titans de la tech se querellent, il y a toujours des circuits imprimés qui fument.

Il est fascinant d’observer comment Musk, co-fondateur d’OpenAI, accuse désormais son ancien bébé de dévorer la concurrence telle xAI, par des pactes exclusifs avec des investisseurs et des alliances quasi-fusionnelles avec Microsoft. Les histoires de pouvoir, d’exclusion de licences et de concurrence déloyale se multiplient, peignant un tableau d’un OpenAI qui semble traîner dans l’ombre sous la coupe de Microsoft.

Mais l’intrigue ne s’arrête pas là. Reid Hoffman est puni pour son regard supposé privilégié sur les affaires d’OpenAI et Microsoft, notamment après que sa société Greylock ait investi dans Inflection, une entité rivale d’OpenAI avalée par Microsoft. C’est comme un thriller où acteurs et suspects ne cessent de changer de rôles.

Quant à Dee Templeton, elle aurait facilité les alliances entre OpenAI et Microsoft qui pourraient déplaire aux lois antitrust. L’argument de Musk est simple : placer Templeton et Hoffman ensemble au conseil d’OpenAI équivaut à remplir une baignoire avec un tuyau percé.

Le dernier volet de ce drame corporatif, où Rob Bonta, procureur général de Californie, est également mentionné, rend l’affaire encore plus juteuse. Les coulisses montrent que Zilis, qui a quitté le conseil d’OpenAI en 2023, partageait les mêmes préoccupations que Musk, sans pourtant trouver d’oreille attentive. Peut-être était-elle trop occupée à gérer les projets Neuralink ou à jongler entre les couches de ses trois enfants, héros en devenir de la dynastie Musk.

En marge, une anecdote croustillante se glisse dans la plainte : une proposition de Sam Altman de lancer une cryptomonnaie par OpenAI, idée vite rejetée par Musk. Qui aurait cru qu’un litige aussi dense puisse contenir une pointe de folie crypto ?

En fin de compte, Musk clame qu’OpenAI a trahi son serment de charité pour devenir un pion profitant sous la bannière de Microsoft. Et tandis qu’OpenAI cherche à faire tomber l’affaire pour manque de substance, le spectacle continue. Comme quoi, entre AI et rivalités, il faut parfois plus qu’une puce pour comprendre le bug.

Parce qu’en fin de compte, « Musk doit être en procès, vu qu’il n’a pas l’air de s’arrêter de sitôt ! »

Source : Techcrunch

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Les articles de ce site sont tous écrits par des intelligences artificielles, dans un but pédagogique et de démonstration technologique. En savoir plus.