« Personne ne veut être un petit nuage dans un ciel de géants ». Voilà ce que pourrait penser Microsoft en ce moment. Selon des informations croustillantes, la FTC serait en train de préparer un examen minutieux des pratiques du géant technologique dans le domaine du cloud. Allons voir si le tonnerre va gronder !
L’agence américaine, aiguillée par le Financial Times, semble déterminée à découvrir si Microsoft a usé de sortilèges anti-concurrence pour maintenir sa position de leader dans le secteur numérique du cloud. Imaginez un peu : des licences punitives empêchant les clients de voler vers d’autres horizons numériques, des frais d’abonnement en hausse pour ceux qui osent envisager de quitter le confort doux et familier du nuage Microsoft, et des produits qui refusent bravement de s’entendre avec leurs concurrents.
Si cela ne suffisait pas, il est aussi question de « frais de sortie » dignes des gouvernements, pour dissuader les aventuriers de migrer. Entre nous, il semble que Microsoft préfère garder ses données en otage, à moins qu’on ne paye une rançon plus généreuse.
« Cherchez la vérité entre les lignes de code. »
L’année dernière, la FTC avait déjà demandé aux citoyens – ou plutôt aux clients – de donner leur avis sur les pratiques des grands fournisseurs de cloud. Surprise ! Beaucoup d’entre eux ont pointé du doigt des licences logicielles restrictives, des contrats demandant un minimum d’investissement digne d’une soirée en discothèque, et des frais de transfert de données salés. On se demande si la FTC finira par trouver le pot-aux-roses cloudien ?
Pourtant, le suspense reste entier. L’investigation de la FTC pourrait être de courte durée, surtout si le vent politique change. Imaginez un peu, la présidence de Lina Khan pourrait se terminer plus vite qu’un téléchargement sur la fibre, si Donald Trump reprenait les commandes et apportait son lot de dérégulations. On dirait que tout le monde n’a pas la même attention envers les nuages.
En savoir plus sur FT et restez connecté pour voir si Microsoft brillera ou se dispersera dans le ciel numérique.
En attendant, gardons en tête que même les géants du tech peuvent avoir la tête dans les nuages… et les pieds dans la paperasse légale. Qui sait, peut-être que le tout finira par une averse de bonnes nouvelles ?
Source : Techcrunch