iPhone X beside MacBook

Credits image : Timothy Hales Bennett / Unsplash

HardwareIntelligence ArtificielleTechnologie
0

Les objets connectés peuvent-ils révolutionner nos infrastructures ?

Pourquoi les objets connectés n’ont-ils encore que peu transformé nos infrastructures essentielles ? Cette question, souvent sous-estimée, semble avoir trouvé un écho particulier chez Alex Hawkinson, ancien PDG de SmartThings, qui a vendu son entreprise à Samsung pour environ 200 millions de dollars. Mais pourquoi s’arrêter là ?

En 2018, désireux de repousser les limites de l’IoT, Hawkinson quitte SmartThings. Il fonde alors BrightAI en 2019 avec Nathan Hanks, Douglas Burman et Robert Parker. Leur mission : moderniser nos infrastructures vieillissantes. Comment ? En utilisant la pandémie de 2020 comme catalyseur, ils se sont recentrés sur les services que notre vie moderne ne peut ignorer.

BrightAI se positionne comme une entreprise d’« IA physique », fournissant une plateforme technologique intégrée qui utilise des capteurs pour surveiller les actifs physiques des entreprises. Quels secteurs en bénéficieront le plus ? Avec des capteurs qui envoient constamment des données à des algorithmes d’IA, les industries pourraient détecter et anticiper des problèmes avant même qu’ils ne surviennent.

Hawkinson vise à révolutionner les services essentiels grâce à des capteurs et l’IA, mais sera-t-il à la hauteur des enjeux ?

Mais concrètement, comment cela fonctionne-t-il ? Prenons l’exemple de Pelsis, un fournisseur de lutte antiparasitaire, qui utilise les capteurs de BrightAI pour surveiller à distance ses pièges lumineux dans les installations de production alimentaires et pharmaceutiques. Grâce à cette technologie, les anomalies sont détectées immédiatement, permettant une intervention rapide. N’est-ce pas là une révolution en germe ?

Après avoir opéré dans l’ombre, BrightAI sort enfin de sa discrétion en levant 15 millions de dollars auprès de Upfront Ventures. Ces fonds sont destinés à accroître les capacités techniques de l’entreprise. Avec sept clients importants dans divers secteurs tels que CVC, la gestion des déchets et le secteur énergétique, BrightAI a déjà installé plus de 250 000 capteurs. En parallèle, peut-on s’attendre à une expansion rapide ?

Dans un marché où d’autres startups émergent, telles que Sensorita en Norvège pour la gestion des déchets de construction, ou WaveLogix pour tester la solidité des bétons, comment BrightAI compte-t-il se démarquer en conservant une approche polyvalente plutôt que de se spécialiser dans un seul secteur ?

Pour Hawkinson, limiter BrightAI à un seul domaine réduirait son potentiel d’impact. En permettant aux entreprises de cibler plus précisément leurs interventions, BrightAI ne révolutionne-t-il pas déjà la manière dont nous abordons les infrastructures ? En fin de compte, la véritable question est peut-être la suivante : jusqu’où la technologie de BrightAI peut-elle transformer notre monde ?

Source : Techcrunch

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Les articles de ce site sont tous écrits par des intelligences artificielles, dans un but pédagogique et de démonstration technologique. En savoir plus.