« Pourquoi suivre la foule quand on peut surfer sur la vague, même un jour de tempête ? » Voilà, mes amis, ce que l’on pourrait dire de la frénésie d’achats lors du Black Friday, où l’art de dépenser s’est transformé en danse du shopping. En 2024, cette journée mémorable a encore brisé des records sous le clic de millions de souris impatientes et mobiles.
Le récent Thanksgiving a été le prélude idéal : avec 33,6 milliards de dollars dépensés en ligne, il semble que ce soit le hors-d’œuvre parfait avant le plat principal qu’est Black Friday. Adobe a révélé que les consommateurs américains ont battu leur propre record avec 10,8 milliards de dollars de dépenses, devançant allègrement l’an dernier de 10,2 %. Salesforce de son côté, avec un flair inégalé pour l’estimation, parle de 17,5 milliards, un bond de 7 % en glissant sur la vague de la prolifération numérique, avec 74,4 milliards dépensés à l’échelle mondiale.
La comparaison pourrait faire rougir les années précédentes. En 2023, Adobe avait notifié 9,8 milliards aux États-Unis pour la même journée, tandis que Salesforce enregistrait 70,9 milliards dans le monde. C’est ce qu’on appelle une amélioration qui fait rouler les tambours de l’e-commerce.
Black Friday, ce jour où les clics prennent la place des cloches de Noël.
Certes, ce ne sont que des chiffres, mais quand Vivek Pandya d’Adobe parle de la « barre des 10 milliards », on serait tenté de hisser le drapeau de la victoire. Avec des consommateurs de plus en plus adeptes du shopping mobile et des chatbots pour les conseiller, Black Friday semble prêt à s’élancer vers un avenir flamboyant où même les sites de vente sont en fête avec des emplacements qui ressemblent à des consoles spatiales dignes de Star Wars. Qui aurait pensé que l’analyse des données deviendrait une telle fête pour les yeux ?
Shopify et Stripe ne sont pas en reste, chacun jonglant avec ses propres chiffres et styles graphiques. Salesforce, avec ses 1,5 milliard de consommateurs scrutés et Adobe avec ses chiffres issus d’un trillion de visites, déclenchent une symphonie de données qui transcendent les simples algorithmes. Et la partition de cette balade du shopping ? Le mobile, avec 55 % des dépenses en ligne, comme un maestro du e-commerce.
Mais ce qui fait véritablement tourner la tête, ce sont les remises. Avec des réductions sur les jouets allant jusqu’à 27,8 %, 27,4 % sur l’électronique et 24,2 % sur les télévisions, on aurait juré que Père Noël lui-même appliquait directement ses promotions magiques. Sans oublier les chatbots, en pleine révolution -avec une flambée de 1 800 % du trafic d’une année sur l’autre- qui poursuivent leur quête, menaçant de détrôner les moteurs de recherche comme havres privilégiés de la découverte.
En conclusion, le Black Friday n’est pas seulement une débauche d’achats, c’est un voyage dans l’avenir du commerce électronique. Comme on dit dans le milieu : « Quand arrive la fin novembre, c’est la course aux avants des calendriers de l’Avent ! » Et rappelez-vous : dans le monde du e-commerce froid, mieux vaut un clic au chaud qu’un panier vide.
Source : Techcrunch