« Les logiciels libres, c’est comme le chocolat : parfois, on tombe sur une pépite… ou sur un bug. » Cette citation pourrait parfaitement résumer le dernier rapport de la Linux Foundation, qui se penche sur la place des librairies open source dans le code des entreprises.
Alors, qui joue les stars dans le monde des logiciels libres ? Les GitHub stars et les téléchargements sont souvent les marqueurs d’une popularité indéniable, mais fiabilité ne rime pas toujours avec quantité. Pour mieux comprendre cette mosaïque numérique, le rapport se base sur plus de 12 millions de données issues d’analyses de composition logicielle et d’outils de sécurité d’application comme Black Duck, FOSSA, Snyk et Sonatype. En gros, une enquête digne d’un marathon de Sherlock Holmes, version numérique.
Ce rapport captivant met en lumière l’adoption grandissante de Rust, un langage connu pour ses propriétés de sécurité mémoire, ce qui est une excellente nouvelle pour les développeurs soucieux de leur sécurité. Pourtant, il y a un hic : l’ombre de Python 2 plane toujours menaçante, un peu comme cet oncle bizarre aux réunions de famille dont on ne sait plus comment se débarrasser… ajoutez à cela le problème du manque de standardisation des noms de composants, et on obtient une belle soupe à la grimace potentiellement pleine de confusion de dépendances et d’injections de packages malveillants.
En matière de logiciels open source, il est crucial de prendre en compte non seulement la quantité, mais aussi la qualité et la sécurité.
La Linux Foundation, en alliance avec l’Open Source Security Foundation et l’université Harvard, ont renouvelé l’exercice accompli en 2015 et 2020. Pour les curieux impatients, le dernier rapport est déjà disponible au téléchargement. Une lecture que l’on pourrait bondir dessus plus vite qu’un code faute de sécurité !
En conclusion, si l’open-source est bien souvent sous les feux de la rampe, quelques ombres subsistent sur le tableau – à commencer par une dépendance à des technologies dépassées et une nomenclature chaotique. Mais ne vous en faites pas, dans le monde du développement, ça ne tient souvent qu’à un fil… de code. Et après tout, si le code s’arrête, pourquoi ne pas essayer de le redémarrer avec quelques lignes de Rust bien senties ? Un peu de sécurité jamais n’a tué personne, sauf peut-être un vieux bug qui aurait préféré rester incognito.
Rappelez-vous, dans le monde formidablement étrange de l’open-source, la seule constante est le changement. Et si vous ne vous retrouvez plus dans votre software, eh bien, c’est peut-être juste qu’il est temps de suivre la Rouille au pays des merveilles… ajoutons un peu de « rust »ique d’antan dans votre code !
Source : Techcrunch