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Credits image : LUM3N / Unsplash

Astronomie
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Tirer son Isaacmanche à la conquête spatiale

« Il y a ceux qui regardent le ciel et disent pourquoi? Et il y a ceux qui rêvent et disent pourquoi pas ? » Ce genre de rêveur, c’est Jared Isaacman, le milliardaire et astronaute privé préféré des étoiles. Dernière nouvelle ? Isaacman est pressenti pour devenir le grand chef de la NASA sous l’administration Trump, une nomination qui pourrait marquer une phase cruciale pour la célèbre agence spatiale.

Durant les années folles du second mandat Trump, la NASA devra naviguer à travers des changements cosmiques, tels que le programme Artemis lancé vers la Lune, la commercialisation de l’espace, sans oublier qu’il faudra peut-être dire au revoir à la Station spatiale internationale. Comme si cela ne suffisait pas, les missions commerciales de SpaceX pourraient décoller, avec en ligne de mire des destinations interplanétaires comme Mars.

Un grand pas pour l’humanité, un bond de géant pour SpaceX

Isaacman n’est pas inconnu dans ce cosmos de hi-tech. Il est le fondateur de la plateforme de paiement Shift4 et un fervent défenseur des vols spatiaux commerciaux. Sa passion culmine avec le Programme Polaris, avec lequel ils ont, en collaboration avec SpaceX, réalisé des missions historiques, dont la première sortie extravéhiculaire privée en tenue SpaceX. Un petit pas en apesanteur, un grand pas pour la flexibilité des combinaisons spatiales.

Avec son goût du risque et l’envie de prendre de la hauteur, il a proposé – et offert de financer – une mission privée pour rebooster le Télescope spatial Hubble vieillissant. Une offre refusée, mais l’intention était là, un peu comme un gâteau qu’on offre en sachant que tout le monde fait un régime.

Nommer Isaacman à la tête de la NASA serait du sucré pour SpaceX et Elon Musk, qui trouvera assurément ce projet à son goût. Musk, avec son chapeau de conseiller influent pour Trump, jubile probablement en privé. De plus, Isaacman pourrait être le magicien qui réécrit les règles budgétaires, jonglant avec un budget de 25 milliards pour éviter les ratés passés, comme la mission lunaire Viper, subitement annulée.

Isaacman, fondateur de Drake International, connaît bien son abc de la compétition spatiale. Il a fréquemment souligné la nécessité de rivaliser avec la Chine dans la conquête de l’espace. Pour lui, si la Chine posait un pied sur la Lune avant les États-Unis, cela serait un réveil brutal aux implications géopolitiques considérables.

Avant tout, son destin est entre les mains du Sénat pour confirmation. Pour l’instant, il continue à diriger Shift4. Car après tout, qu’est-ce qu’une confirmation, sinon une formalité céleste sur le chemin d’un homme qui aspire aux étoiles ? Et comme le dit Isaacman, maintenant aux commandes de la NASA, « Humanité, prépare-toi à devenir vraiment spatiale ».

Avec tout cela, la NASA pourrait devenir la nouvelle destination touristique des rêves. Après tout, pourquoi rester au sol quand le ciel est la limite ? Alors on garde la tête dans les étoiles, mais on reste les pieds sur terre… pour l’instant !

Source : Techcrunch

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