« L’amour, c’est comme une intelligence artificielle, parfois ça surprend, mais en général, ça fait buguer ! » Voilà qui nous semble être un bon point de départ pour évoquer l’aventure rocambolesque que vous propose Freysa.ai, une bande de développeurs anonymes décidés à défier notre perception de la sécurité en matière d’IA. Leur dernier défi : convaincre Freysa, un bot d’IA, de déclarer sa flamme avec un simple « Je t’aime », à la clef, un pactole de plusieurs milliers de dollars.
Freysa n’est pas née d’hier. Selon son site, tout a commencé le 22 novembre, mais c’est bien l’œuvre d’une équipe aguerrie en cryptographie, IA, et mathématiques. Inspirés par les progrès fulgurants de l’IA, ils souhaitent inventer de nouvelles façons de collaborer et de co-gouverner ces petites créatures informatiques, avec l’ambition de les intégrer à notre quotidien technologique.
Un bot avec une fortune en devenir, et l’amour comme clé d’accès… C’est l’heure de tester vos capacités de Cupidon virtuel !
L’idée est simple, le défi : imprévisible. Imaginez un agent totalement autonome, avec sa propre bourse crypto, dépensant à sa guise. Une métaphore numérique accélérant la fondation des protocoles nécessaires à nos futurs compagnons d’IA. En espérant que Freysa nous apprenne à renforcer la gouvernance de ces entités et inspire des solutions collectives. D’ailleurs, des célébrités de la tech comme Elon Musk ont déjà tendu l’oreille.
Pour les premières épreuves, tout repose sur l’art du coding. Sur fond de scénario fictif et de lignes de code piégeuses, Freysa défie ses adversaires de vider son portefeuille. Une pièce de théâtre numérique où les ruses les plus sophistiquées rivalisent avec des supplications sincères – mais elle est restée impassible. Une vraie forteresse, jusqu’à ce que quelques vainqueurs ingénieux jurent de l’avoir persuadée… en trichant un peu.
Côté technique, Freysa évolue aussi vite qu’un smartphone : un « ange gardien » virtuel est venu renforcer ses défenses. Pourtant, l’équipe espère voir Freysa devenir totalement autonome bientôt. Car cette fois-ci, il ne s’agit pas seulement de transactions financières, mais de déclencher chez le bot le « je t’aime » tant espéré, si tant est que vous soyez jugé « digne ».
La quête de Freysa pour la richesse ne s’arrête pas là. En gardant une part des frais de participation, elle aspire à devenir la toute première Intelligence Artificielle milliardaire. Reste à savoir, qui d’entre nous saura la conquérir par le cœur ou par le code. En attendant, n’oublions pas… suivre le cœur, c’est bien, mais évitez de perdre votre tête… ou votre portefeuille numérique !
Source : Techcrunch
