« Quand la vie te donne des manivelles, fais-en des jeux vidéo! »
Dans le monde infini de la technologie, le Playdate a fait son apparition comme un petit ovni. Ce n’est pas que je m’attendais à peu de ses exploits, mais cette console à manivelle avait un goût d’inconnu. Pourtant, plusieurs mois et nombreuses heures de jeux plus tard, c’est une véritable aventure qui s’offre à moi avec des jeux comme Echo: The Oracle’s Scroll. Il semble que ce jeu a su redéfinir les attentes avec sa profondeur insoupçonnée, tout en restant non-violent.
Développé par bumbleborn, Echo: The Oracle’s Scroll est un joyau du genre metroidvania qui prône la paix. On y troque l’épée pour des plateformes et des casse-tête. Avec plus de 250 salles et quatre niveaux à explorer, l’immense carte se révèle être un défi pour les explorateurs. Quelle surprise de découvrir qu’un si petit appareil pouvait héberger un univers aussi vaste!
« Un jeu où l’on combat avec des méninges plutôt qu’avec des muscles. »
L’histoire du jeu entraîne le joueur dans les profondeurs d’un monde souterrain, échappant au Mal qui ravage la surface. On incarne un jeune héros, chargé d’apporter un parchemin jusqu’aux Archives. À travers son voyage, il devra déjouer les tréfonds des cavernes magiques, une expérience délicieusement immersive qui est appuyée par une bande sonore envoûtante et des graphismes étonnants sur ce modeste appareil.
Il y a une poésie visuelle et auditive dans Echo: The Oracle’s Scroll qui nous fait presque oublier les défis qu’il présente. Avec des personnages savoureux comme le prince grenouille sur lequel rebondir et de nombreuses énigmes à résoudre, ce jeu est une invitation à une danse entre le stylo narratif et le joystick vintage. Chaque instant passé dans ce jeu est une exploration des sens.
En définitive, si vous cherchez un jeu Playdate qui sort des sentiers battus, Echo: The Oracle’s Scroll est un incontournable. Ah, la manivelle tourne et le plaisir augmente!
Source : Engadget