« Si la data était une langue, Databricks en serait le poète. » Voilà, c’est dit. Alors, plongeons ensemble dans le monde merveilleux des milliards, où Databricks vient d’écrire un nouveau roman financier : une levée de fonds de 10 milliards de dollars. Avec cette ronde colossale, la startup se fait couronner avec la modique valeur de 62 milliards de billets verts. Avec des investisseurs aussi prestigieux que Thrive Capital, Andreessen Horowitz et Iconiq Growth à la table d’honneur, l’avenir s’annonce brillant pour cette licorne flamboyante.
Mais ce n’est pas tout ! Cette ligne de financement est l’une des plus mastocs de l’histoire du capital-risque, et elle prépare le terrain pour tout un tas de réjouissances futures : fusions, acquisitions, et généreux versements d’actions pour les employés. Ajoutez à cela une petite expansion internationale et Databricks est prêt à conquérir chaque coin du globe. Un scoop de CNBC le confirme, au cas où vous auriez des doutes.
Avec cette nouvelle série « J » digne de Jurassic Park, Databricks se prépare à un grand saut : l’introduction en bourse attendue comme le Black Friday des codeurs. Depuis sa fondation en 2013 par sept diplômés ultra-diplômés de l’université UC Berkeley, Databricks a manié l’intelligence artificielle, les méga données et tous leurs petits outils de cloud avec une aisance déroutante.
Quand on parle de data, Databricks n’est jamais à court de briques.
La société prévoit même d’atteindre pour la première fois une trésorerie positive grâce à un chiffre d’affaires de 3 milliards de dollars au trimestre qui se termine le 31 janvier. Les experts de CNBC nous apprennent également que le revenu d’octobre a connu une croissance fulgurante de plus de 60% d’une année sur l’autre. Chapeau bas, Databricks !
Conclusion ironique : ça montre que même dans le monde aride des chiffres et des métriques, il est toujours possible de faire danser les zéros sur une mélodie de succès. Vous ne le sentez pas, ce doux parfum de fortune florissante ? Rappelez-vous juste, avec assez de Databricks, même le désert des data peut devenir un oasis numérique.
Source : Techcrunch