« Il y a plus de choses entre le ciel et la Terre que dans toute votre Wi-Fi. » C’est ce qu’on dirait après les dernières révélations émises par la formidable équipe de la NASA. Grâce au télescope James Webb, ces astronomes ont décroché des clichés sidérants de disques en pleine formation de planètes autour d’étoiles anciennes. Un coup de gomme sur les théories existantes qui affirmaient que ces structures se dissiperaient plus rapidement qu’un Snap échappé dans le cyberespace.
Ces images dignes d’un tableau de maître ont été saisies dans la Petite Nuée de Magellan. Un voisin cosmique pas si éloigné de notre Voie lactée adorée. Le télescope Webb ciblait plus particulièrement NGC 346, cluster céleste aux conditions comparables à celles du tout jeune univers où les lourds éléments alias les “métaux” sont aussi rares qu’un vendeur de NFT aux soldes du Black Friday.
L’équipe de la NASA a mis en lumière que les disques protoplanétaires faisaient de la résistance et restaient plus longtemps sur la scène galactique que prévu. Imaginez un participant de télé-réalité qu’on pensait éphémère et qui finalement décroche un contrat longue durée !
Les nouvelles images nous rappellent qu’il nous reste encore bien des étoiles à enlever autour de la formation des planètes.
Au début des années 2000, les observations offensives de Hubble sur NGC 346 avaient décelé des étoiles âgées de 20 à 30 millions d’années encore coiffées de leur disque planétaire. Un fait jugé autant controversé que vos choix musicaux généraux dans une playlist de mariage ! Désormais, le télescope Webb vient en renfort avec des preuves accablantes, montrant que ces disques s’accrochent plus qu’une mauvaise blague de Tata Suzanne.
Quant à la raison de cette persistance galactique presque teenspirituelle, deux théories s’affrontent. Premièrement, la pression radiative des étoiles dans NGC 346 mettrait plus de temps à gomme−r les disques. Oubliez la pression sociale, c’est la pression stellaire qui pèse ici. Sinon, la naissance d’une étoile, telle un grand nuage de gaz, se réalise avec moins de métaux, produisant des disques qui prennent leur temps pour se volatiliser au vent cosmique. Comme quoi, l’Univers aussi pratique l’art de la procrastination !
Tout cela pour dire qu’avec des images aussi nettes que des photos Instagram de brunch parfait, notre cher Webb nous prouve que l’on ignore encore beaucoup sur la formation des planètes. En attendant, les disques protoplanétaires s’amusent à faire de la résistance, tels des disquettes dans un monde de clés USB.
En conclusion, il semblerait donc que dans cet univers intrigant, la durée de vie d’un disque protoplanétaire pourrait bien emprunter la voie des étoiles filantes… à traîner.
Source : Engadget