« Les machines ne sont pas capricieuses, elles ne sont tout simplement pas programmées pour nous comprendre… encore ! ». Le monde des IA continue de faire les gros titres avec l’incroyable saga du passage d’OpenAI vers le lucratif — ou presque. Encode, cette organisation un brin rebelle, a décidé d’ajouter son grain de sel en soutenant l’injonction de notre milliardaire-toujours-prêt-à-chatouiller, Elon Musk, pour stopper cette transition. C’est fou comme l’IA peut transformer de simples désaccords en drames Shakespeariens techno-modernisés !
Dans un joli petit dossier soumis à la cour du district nord de Californie, les avocats d’Encode expriment que la transformation d’OpenAI en une entité à but lucratif pourrait sérieusement miner sa noble mission de déployer la technologie de manière sûre et bénéfique. Sam Altman, PDG d’OpenAI, déclare que leur passage vers une société de bénéfice public de type Delaware (PBC) est imminent, avec une offre d’actions et des bénéfices orientés vers l’intérêt public. Mais Encode n’est pas entièrement convaincu de cette prétendue charité augmentée.
Une conversion qui joue les transformistes : d’un idéal philanthropique à une réalité audacieusement pécuniaire!
Passée de laboratoire de recherche à but non lucratif en 2015 à une structure avec limite de profit pour attirer des investissements, OpenAI prend un nouveau visage. Avec Microsoft comme partenaire majeur, l’avenir de l’IA n’a jamais été aussi… lucratif. Musk, auto-proclamé défenseur du bien commun, crispe les muscles et accuse OpenAI d’avoir délaissé sa mission première au profit de ces vilains investisseurs économiques bloquant la compétitivité du marché. Pas de jalousie ici, évidemment.
Meta, le rival également féru d’intelligence artificielle, a choisi d’épauler Musk. Peut-être plus par goût du drame que par réel intérêt juridique, cette collaboration inattendue veut éviter, selon eux, une transformation sismique de la Silicon Valley. Les réactions sont si rapides qu’on pourrait croire qu’une IA est derrière les échanges! OpenAI, quant à elle, réfute les allégations de Musk comme étant «sans fondement», les qualifiant de réminiscences de raisins amers; rien de personnel, bien sûr.
Et si OpenAI changeait ses plans d’une manière qui ferait de son ancienne grande mission une simple distraction secondaire? L’inquiétude de certains anciens employés semble indiquer que la transformation pourrait faire passer la sécurité de l’intelligence artificielle à la trappe. Encode pointe du doigt que cette conversion pourrait placer l’organisation devant un dilemme moral : le profit contre le public.
Pour ajouter une touche de piquant historique, Encode, mené par un jeune prodige du lycée, se positionne en porte-parole des générations futures. Ils ont d’ailleurs été partie prenante de plusieurs législations d’IA, prouvant que les jeunes ont définitivement voix au chapitre. Alors que les IA continuent de susciter discussions et inspirations, une chose est certaine : transformer ne veut pas toujours dire améliorer — tout dépend de la programmation !
Concluons en disant que, dans l’arène technologique d’aujourd’hui, le véritable défi est peut-être de garder nos IA sous contrôle, sans perdre l’humanité dans la machine… Après tout, sans elle, resterait-il assez d’intel pour garder l’intelligence ?
Source : Techcrunch