« Trouver du cuivre dans les montagnes, c’est comme trouver la dernière chaussette de votre lessive : c’est tout un exploit ! »
Figurez-vous que KoBold Metals, une startup ambitieuse, vient de décrocher le jackpot ! Grâce à une levée de fonds de 537 millions de dollars en série C, la société s’apprête à creuser du cuivre en Zambie comme on cherche de l’or dans un Kinder Surprise. Cette levée spectaculaire, menée par Durable Capital Partners et T. Rowe Price, a propulsé KoBold à une valorisation stratosphérique de 2,96 milliards de dollars, d’après les sources bien informées du Financial Times.
Alors que vous êtes peut-être encore à pinailler sur comment joindre les deux bouts, KoBold jongle entre les continents pour améliorer ses explorations géologiques grâce à l’intelligence artificielle – parce que, soyons honnêtes, qui a le temps de tout lire soi-même de nos jours ? Découvrant sous la surface de la Zambie un gisement de cuivre aux dimensions colossales, ils envisagent de transformer cette mine en véritable usine à succès.
Avec une stratégie basée sur l’IA, KoBold est prêt à creuser la voie vers l’avenir, un cuivre brillant à la main.
Derrière cette mine dorée de promesses, on trouve les habituels noms influents du milieu. Andreessen Horowitz, Bond, et même Breakthrough Energy Ventures sont venus jeter leur pelle dans l’entreprise, tels des copropriétaires d’une colocation. Pour ceux qui aiment les potins d’investisseurs, on notera qu’auparavant, KoBold avait déjà attiré dans ses filets de vieille veine de la Silicon Valley des mastodontes tels que Bill Gates, Jeff Bezos et Jack Ma.
S’inspirant des tensions sino-américaines sur les ressources minérales, KoBold jongle avec des minéraux critiques tels que le lithium et le gallium. Eh oui, pendant que le public détourne son attention sur les batailles pop-corn entre les grandes puissances, KoBold s’occupe des affaires sérieuses. Parce qu’après tout, qui aura besoin d’antimoine quand il sera à la recherche de cuivre ?
Afin de répondre aux enjeux incroyablement complexes des ressources minières du futur, KoBold continue de perfectionner son approche révolutionnaire. En utilisant l’IA pour filtrer les données géologiques avec la précision d’une femme de ménage robotisée, KoBold s’efforce de faire passer le cuivre de l’état de promesse à celui de richesse tangible.
En somme, KoBold est en train de prouver que la chasse au cuivre n’est plus un rêve enfoui… Mais méfiez-vous, sur le point de miner tant de richesse, ils pourraient bien finir par tituber sous le poids des promesses dorées !
Quant à moi, je m’en vais déterrer mes chaussettes dépareillées.
Source : Techcrunch
