« Accrochez-vous bien, car cette fusée va vous emmener loin, très loin… surtout si vous êtes un simulateur de satellite Starlink ! »
SpaceX semble avoir décidé de passer en mode hyperdrive pour son programme d’essais de Starship. La prochaine étape? Un lancement qui pourrait enfin montrer ce que ça donne quand une fusée déploie effectivement un chargement. Et cette fois, on parle de simulateurs de satellite Starlink, à ne pas confondre avec des boîtes à musique spatiales !
Ces engins de simulation sont destinés à transformer notre perception des satellites. Aussi volumineux et lourds que les futurs satellites nouvelle génération, ils embarqueront à bord de Starship pour un petit plongeon dans l’océan Indien, prouvant peut-être que le sport nautique ne se limite pas à la Terre.
Starship prépare le terrain pour transporter de véritables satellites V3, changeant la donne pour SpaceX.
Et qu’en est-il des véritables satellites V3? Eh bien, ce sont eux qui devraient faire leurs débuts à terme, apportant une révolution dans la façon dont SpaceX envisage ses lancements. Grâce à Starship, SpaceX projette d’envoyer 60 de ces nouveaux satellites en un seul voyage galactique, avec une promesse de 60 terabits par seconde de capacité supplémentaire pour le réseau Starlink.
Impressionnant n’est-ce pas ? Chaque satellite de cette nouvelle génération surpasse ses prédécesseurs, avec plus de dix fois la capacité de téléchargement et vingt-quatre fois celle de téléversement par rapport à leurs homologues V2 Mini. On peut s’attendre à une performance boostée et une meilleure couverture de cet Internet venu des cieux.
Mais ce n’est pas tout. Avant le septième lancement test, prévu ce mois-ci, SpaceX a annoncé dans un billet de blog de nouvelles améliorations pour la fusée. Avec une propulsion, des systèmes avioniques et un bouclier thermique upgradés, chaque partie de cette fusée semble jouer la symphonie de l’innovation. L’objectif cette fois ? Réussir à rattraper le booster Super Heavy, une manœuvre déjà accomplie lors du cinquième essai en octobre. Simple, il suffisait d’y penser.
Allez, dans ce monde où on parle de fusées, satellites et technologie de pointe, n’oublions pas de garder les pieds sur terre. Parce qu’avec SpaceX, même les étoiles semblent avoir besoin de simulateurs pour suivre le rythme !
Source : Techcrunch