« L’intelligence artificielle est comme les fruits exotiques: fascinante, mais gare aux allergies! » C’est un peu l’aventure que Microsoft prend en 2025 avec son audacieux coup de poker sur l’IA.
Notre géant de Redmond n’y va pas de main morte : il compte bien dépenser la bagatelle de 80 milliards de dollars pour renforcer ses centres de données boostés à l’IA. Et pourquoi, me direz-vous? Pour former et déployer des modèles d’IA mais aussi pour donner un coup de turbo à ses applications basées sur le cloud. Plus de la moitié de cette somme mirobolante sera par ailleurs investie chez l’Oncle Sam. On imagine déjà les courtiers de Wall Street racler leur écran d’ordinateur en pleurant de joie.
Mais attention, la clé du succès, selon Microsoft, c’est la collaboration avec le gouvernement, et ce n’est pas qu’une clé USB! Satya Nadella et son équipe espèrent que le futur gouvernement Trump mettra la main à la poche pour faire évoluer la recherche en IA à travers des financements accrus pour la National Science Foundation ainsi que les universités américaines. C’est « no money, no AI », paraît-il. Mais soyons clairs, pas de blues pour l’économie: l’IA pourrait bien transformer le marché du travail, supprimant certains jobs, mais en créant de nouveaux, un peu comme le passage des chevaux aux voitures.
Investir dans l’IA, c’est un peu comme parier sur le cheval gagnant lors du grand prix du numérique.
Dans cette course effrénée entre l’Oncle Sam et l’Empire du Milieu, l’exportation de l’IA made in USA devient une priorité absolue. La compétition sera rude avec la Chine pour dominer la scène technologique internationale. La stratégie : être le premier au départ pour arriver en tête au sprint final. Mais attention, comme le dit un vieux proverbe chinois : « On ne croque pas le nougat les yeux fermés ». À méditer chers lecteurs!
En somme, si vous aussi vous misez sur l’IA, n’oubliez pas de souscrire à un bon antivirus pour robots! HAHAHA! L’intelligence c’est bien, mais avec un bon pare-feu, c’est mieux.
Source : Engadget