a car that is driving down the street

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Autonome, tu conduis mal !

« Un vélo, ça tient tout seul en mouvement, pourquoi pas un minibus ? » Voilà comment on pourrait introduire l’irrésistible avancée technologique de May Mobility, une startup qui a décidé de révolutionner la mobilité comme on manie une baguette magique. Lors du CES 2025, cette entreprise basée à Ann Arbor a présenté son dernier jouet : un minibus électrique et autonome, fruit d’une collaboration énergétique avec Tecnobus, mannequin vedette des bus électriques européens. Pas de panique, les amis, ce n’est pas un gros jouet téléguidé !

May Mobility ne s’amuse pas qu’à moitié. Actuellement, leur flotte joue les chauffeurs sur mesure avec une quarantaine de Toyota Sienna relookées en navettes autonomes, prêtes à faire un job sans broncher. Ces minivans, musclés et prêts à accueillir jusqu’à huit passagers, se baladent fièrement sur les campus et dans les communautés planifiées. Mais accrochez vos ceintures, car le vrai show commence en 2026 avec l’arrivée des Tecnobus capables de transporter 30 passagers, y compris nos amis à roulettes (lire : en fauteuil roulant). Oubliez le métro bondé, on installe le confort sur quatre roues !

Avec des batteries interchangeables, ces petits bolides urbains ne comptent pas rester sur le carreau. Ils cartonnent pour les trajets en ville, les campus d’entreprise, les aéroports, et les communautés bien organisées. Et comme toute bonne idée qui traverse l’Atlantique, ces bus ont reçu le feu vert pour rouler en Europe et au Canada. Si vous pensiez qu’il n’y a qu’au Monopoly qu’on passe par la case départ, détrompez-vous !

May Mobility est prêt à transformer l’Autopilot d’Elon Musk en un simple kit mains libres.

Et si vous vous demandez combien de ‘Lotus’ supplémentaires May Mobility compte ajouter à son bouquet floral de bus, eh bien, Them punk de TechCrunch partage votre curiosité. Actuellement, ils s’épanouissent dans des jardins urbains comme Arlington, Detroit et Grand Rapids. Et parce qu’ils ne sont pas avares, ces navettes mettent aussi les voiles au Japon, où la collaboration avec NTT brille de mille feux à Nagoya. Tokyo et Fukuoka réclament aussi leur part de ce gâteau autotéléguidé !

L’expérimentation à Ann Arbor, avec une navette sans chauffeur ni copilote, donne le ton de ce concert symphonique made in May Mobility. Imaginez un instant les conducteurs de taxi lisant un roman pendant que leur voiture les téléporte. Enfin, le défi sera peut-être de tenir sa brosse à dents électronique en équilibre sur la planche du tableau de bord !

On pourrait dire que May Mobility est en train de réinventer la roue (littéralement et figurativement), tout en gardant le monde en mouvement. Après tout, qui a besoin d’un conducteur quand on a un bon programmeur ?

Autonome, tu conduis mal !

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Source : Techcrunch

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