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Credits image : Kenyon Johnson / Unsplash

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PDQ, le choix est roi !

“Si vous construisez, ils viendront… acheter !” Le monde du e-commerce est un peu comme un terrain de jeu où seuls les impétueux osent bâtir leurs propres châteaux, loin de l’œil vigilant d’Amazon. Entrez dans l’univers de PrettyDamnQuick (PDQ), la startup qui ne s’abreuve pas de la même potion que la majorité, et qui ajoute un peu de piment dans les flux logistiques.

Derrière ce nom qui claque se cache une société new-yorkaise, dont l’objectif est de rendre le e-commerce plus indépendant. Né en 2020, PDQ offre aux détaillants un peu plus que de simples données : l’opportunité de personnaliser et tester leurs méthodes de paiement et d’expédition, histoire d’avoir leur propre style ! Un vrai coup de pied dans le marché au moment où la pandémie nous a tous fait oublier comment sortir de chez soi.

On pourrait croire l’idée risquée après l’euphorie post-pandémie, où tout le monde s’est rué de nouveau vers les magasins physiques comme des papillons de nuit vers une bougie Ikea. Pourtant, PDQ continue de grimper aux arbres à la manière d’un panda déterminé, rêvant de transformer 30 millions de commandes mensuelles en 300 millions d’ici 2025. Et dans ce rêve, ils viennent de décrocher 25 millions de dollars en série A. Comme quoi, croire en ses rêves cela rapporte vraiment – en cash.

« Dans la jungle du e-commerce, PDQ c’est un peu le Tarzan qui fait son nid ailleurs qu’au sommet de l’arbre Amazon. »

Mais comment conquérir cette jungle alors que l’incertitude économique ne cesse de grogner comme un ours affamé ? PDQ vise les e-commerçants rêvant d’indépendance, ceux refusant de plier bagage chez Amazon. Vous savez, ceux qui veulent être libres comme l’air, avec une administration de site fluide et personnalisée, sans pour autant avoir besoin d’un diplôme en informatique de la NASA.

L’histoire prend une tournure narrative avec Avi Moskowitz, l’héroïque fondateur de PDQ. Son aventure a commencé en Israël avec BeerBazaar, une société de bière artisanale en plein essor qui, sous l’orage de la COVID-19, s’est vu rôtir sous les feux des projecteurs. C’était presque comme soudainement devoir passer de Jedi en herbe à grand maître Yoda du e-commerce : des milliers de commandes et une expérience client qui à l’époque était aux antipodes de celle, fluide, d’Amazon.

Pour Avi, c’était l’épiphanie : pourquoi ne pas donner à tous les sites e-commerce cette force logistique omniprésente, sans compromettre leur indépendance, tel un Skywalker des temps modernes ? En réponse, il a créé une plateforme nourrie par la personnalisation où chaque acheteur est roi, ou tout du moins, prince du check-out.

PDQ veut que chaque magasin ait accès aux meilleures solutions de livraison et paiement, sans se perdre dans une mer de partenaires logistiques, d’API et de questions existentielles sur le sens de l’existence numérique. Même si Shopify et d’autres options tierces agissent déjà comme des cobayes sur cette scène, PDQ reste persuadé que la place est suffisante pour bien s’installer.

Niveau finances, on reste discret comme une carpe sur la valorisation exacte, mais les fonds affluent tels des fans à un concert d’Ed Sheeran. Avec des investisseurs comme Peakspan Capital et une récolte de 38 millions de dollars, PDQ prouve qu’il s’achète plus qu’un court passage à la caisse.

Alors, si PDQ était un super-héros, il serait Speedy Gonzales, celui qui vous assure un avenir où la lenteur ne passera pas. Comment ne pas applaudir ce bouquet final ? Car au fond, n’est-ce pas là la beauté du e-commerce : faire que l’attente ou l’inattendu ne soit jamais qu’un vague souvenir ? En un mot : PDQ, c’est la vie express, juste en un clic ! Et souvenez-vous, “le temps, c’est d’l’argent, et avec PDQ, y’en a plus qu’assez pour remplir votre panier !”

Source : Techcrunch

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