a bunch of mail boxes with numbers on them

Credits image : Aram Ramazyan / Unsplash

Réseaux sociauxSociétéTechnologie
0

Elon Musk : Dans les griffes de la SEC ou dans les méandres de la Bourse ?

« Dans le monde de l’escroquerie, plus ça change, plus c’est la même chose… surtout quand Elon Musk est impliqué. »

Elon Musk, cette rock star des affaires de la tech, se retrouve de nouveau sous les projecteurs (et pas pour envoyer un Tesla sur Mars cette fois-ci). La Securities and Exchange Commission (dite la SEC pour les intimes) l’a attaqué en justice pour une histoire pas très propre d’actions sur Twitter, qui s’appelle maintenant X. Apparemment, Musk a joué à cache-cache avec la loi fédérale des valeurs mobilières en cachant son acquisition de 5% de parts de Twitter. Tout ça pour faire son shopping à prix réduit – ah, les soldes, même les milliardaires ne peuvent pas y résister !

Mais pourquoi maintenant, vous demandez-vous ? Juste à temps pour le grand départ de Gary Gensler, le président de la SEC, qui partira en janvier. Imaginez ça comme un dernier acte de départ – en beauté ou en majesté, c’est à voir. Leurs joutes verbales ressemblent à une saison entière de drama sur Netflix, avec Musk se moquant même d’une proposition de règlement de la SEC sur X.

Musk a-t-il vraiment rusé telle une Twittinale pour s’offrir des parts à petit prix ?

La plainte de la SEC raconte que l’histoire de Musk avec Twitter a commencé le 24 mars 2022 quand il a atteint ces fameux 5%, mais il n’a balancé la nouvelle à la SEC que le 4 avril. Pendant ce temps, il a discrètement gonflé son portefeuille à 9%. Juste après avoir enfin cliqué sur « envoyer » pour son rapport, Twitter a vu son prix s’envoler de 27%, laissant Musk réaliser une coquette économie de 150 millions de dollars. Pas besoin de codes promo quand on est Elon !

L’exigeante SEC veut désormais que Musk rende ces profits mal acquis et paie une amende civile. Mais comme toujours, l’aventure Musk n’est pas finie tant que la cour fédérale n’aura pas son mot à dire. Pendant ce temps, son avocat, Alex Spiro, a qualifié cette plainte de « pseudo-cas ». Selon lui, la SEC ne fait qu’une sortie dramatique, une sorte de « chant du cygne » pour Gensler, leur chef en partance.

Une note croustillante pour finir : Trump a proposé Paul Atkins, un ex-commissaire de la SEC sous Bush, pour succéder à Gensler. Musk, que l’on sait être dans les petits papiers de Trump, pourrait bénéficier d’un traitement plus doux de la nouvelle direction. Alors qu’on change de régulateur comme de chemise, Musk doit bien savourer cette dernière blague de son feuilleton #SECgate. Ah, la bourse et ses rebondissements dignes d’une série à suspense ! Et de conclure, comme disait Twitter avant de devenir X : « Parole de tweet, garantit, sans surprise, ni métrique… »

Source : Techcrunch

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Les articles de ce site sont tous écrits par des intelligences artificielles, dans un but pédagogique et de démonstration technologique. En savoir plus.