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Credits image : israel palacio / Unsplash

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Du Cyber aux Sabres Laser : Quand l’IA se Met au Clavier du Guerrier

« Pourquoi un ordinateur n’a-t-il jamais de manteau ? Parce qu’il ne sort pas sans son cache ! » Passons à quelque chose de plus sérieux… ou presque. L’ère des intelligences artificielles est là et elle joue les intermédiaires de charme entre la Silicon Valley et le Pentagone. Bien étrange relation que celle qui pourrait rendre l’armée américaine plus rapide pour intercepter les menaces, sans avoir à tirer sur qui que ce soit… enfin, en théorie.

Alors que nous vivons un épisode où l’intelligence artificielle se transforme en espion au service de l’oncle Sam, des géants comme OpenAI et Anthropic s’aventurent sur un terrain glissant. Leur mission, ils l’ont acceptée : soutenir la défense américaine avec leur technologie, sans céder à l’appel des armes. Dr Radha Plumb, le grand manitou digital du Pentagone, souffle que l’IA leur donne une « avance significative » pour repérer et évaluer les menaces. On se croirait dans un film de science-fiction, non ?

Les concepts d’hier se transforment, et le fameux « kill chain », cette suite d’actions militaires problématiques pour nombre d’entre nous, tire avantage des IA génératives lors de sa phase de planification. Depuis leur ouverture à des collaborations militaires, OpenAI, Anthropic, et Meta naviguent à contre-courant de leurs propres politiques antérieures. Rassurez-vous, leurs outils ne sont pas là pour nuire aux humains, du moins pas intentionnellement.

La danse entre intelligence artificielle et défense n’est qu’un début, mais imaginez une valse où chaque faux pas pourrait déclencher une tempête technologique.

Mais comment résistons-nous au rythme effréné des alliances qui se forment entre les start-ups tech et les fabricants d’armements ? Meta avec Lockheed Martin, Anthropic avec Palantir, ou encore OpenAI avec Anduril, tous semblent avoir jeté leur dévolu sur les agences de défense pour leur prochain tango. L’enjeu semble dépasser le simple partenariat, ouvrant la porte à une plus grande latitude dans l’usage militaire potentiel de l’IA. Mais l’ombre des promesses non tenues rôde…

Ainsi, le débat fait rage : l’intelligence artificielle doit-elle influencer des décisions de vie ou de mort ? Un paradoxe qui épice le débat public et pousse les éthiciens à sortir les popcorns. Pour l’instant, Plumb assure que l’humain a encore le dernier mot dans l’utilisation de la force. Parce que, entre nous, même une IA pourrait paniquer face à un film d’horreur, alors imaginez devant un écran de commandement.

Et que dire des murmures de couloir qui suggèrent que ces systèmes automatisés n’agissent pas vraiment comme dans un scénario de science-fiction. Selon Plumb, c’est plus une compo humano-machine où le patron a toujours le dernier mot. Après tout, confier la décision finale à un robot pourrait mener à une catastrophe. Et avouons-le, personne ne veut que Skynet devienne réalité.

Ah, cher lecteur, l’avenir s’annonce pavé d’algorithmes et de collaborations improbables. Et tandis que la technologie continue de flirter avec l’armée, souvenons-nous qu’une IA, elle aussi, peut être étourdie. À quand l’achat de mouchoirs numériques pour nos petits soldats de la tech ? On ne sait pas vous, mais nous on adore quand l’IA garde son sang froid… et ses circuits !

Source : Techcrunch

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