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Credits image : Rodion Kutsaiev / Unsplash

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Londres à la Carte: Vers un Futur Wallet-titif

« Et pourquoi ne pas avoir les clés du royaume sur son smartphone ? » semble être la devise du gouvernement britannique tout feu tout flamme numérique, prêt à brandir son plan pour le portefeuille digital. En avant les ambitions techno-révolutionnaires avec l’annonce du lancement d’un portefeuille numérique sécurisé pour gérer les documents émis par l’État. Le clou du spectacle est un charmant chatbot développé avec OpenAI pour dialoguer sur le célèbre portail GOV.UK, judicieusement surnommé « chat-uk ».

Les premières cartes du jeu ? Un permis de conduire virtuel et une carte de vétéran pour ceux qui ont servi sous les couleurs de Sa Majesté. Tandis que l’inauguration de ce service est prévue pour la fin de l’année, le déploiement complet du portail est daté de 2025. Il paraît que quelques intrépides testeurs ont déjà pu converser avec le chatbot, aux répliques parfois surprenantes, comme l’a admis Peter Kyle, le charismatique Secrétaire d’État à la technologie britannique.

Dans un discours coloré, Kyle a souligné qu’il est crucial de préparer le public à l’interaction numérique accrue avec l’administration. Il n’a pas manqué de mentionner la bavarde machine, qui s’est mise à parler français en plein milieu d’une série de tests. Une melt-in-bouche confondante qui aura au moins le mérite d’étendre l’horizon linguistique des testeurs !

Les nouvelles innovations numériques du gouvernement britannique sont comme un cupcake: pleines de surprises, mais savoureuses.

Cette révolution numérique surgit alors que le gouvernement travailliste met les bouchées doubles pour nourrir une économie axée sur l’IA. Des partenariats avec des entreprises privées, l’expansion de l’infrastructure data et un supercalculateur sont dans les tuyaux, le tout parrainé par une poignée d’annonces d’outils d’IA comme « Humphrey », l’assistant multifonctionnel Anti-chagrin bureaucratique.

Mais, revers de la médaille, l’enthousiasme n’est pas exempte de questionnements concernant l’impact de ces services IA: confidentialité des données, sécurité de l’emploi, et même les détournements potentiels pour diffuser de la désinformation ou pour des activités plus sombres, rappelant que tout ce qui brille n’est pas de l’or numérique.

Outre-Manche, la montée en puissance des services numériques coïncide avec les initiatives technologiques des États-Unis dirigées par Elon Musk, propulsé au rôle de chef d’orchestre par l’administration Trump. Cependant, l’insouciance semble régner puisque Trump a annulé une ordonnance de son prédécesseur, assouplissant les tests sécuritaires sur les IA autant que ses généralités sur la planète Mars.

À noter, le portefeuille numérique de GOV.UK mise tout sur la sécurité: stockage des documents gouvernementaux, vérification d’âge facilitée et utilisation astucieuse des smartphones, reconditionnés en trousseau de clés 2.0. Bien que facultatif, nul doute que le charme du wallet digital tentera plus d’un Britannique avide de modernité, espérons-le, avec moins de bugs que le dernier clone de Tamagotchi !

Source : Techcrunch

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