« L’intelligence artificielle est aussi mystérieuse qu’une recette de saucisse : tout le monde aime les résultats, mais personne ne veut vraiment voir comment ils sont faits. » En 2024, en Californie, cet adage a pris tout son sens ! Alors que l’Etat s’est couvert d’un manteau législatif épais pour équilibrer la magie et la machine, le gouverneur Gavin Newsom a signé 18 nouvelles lois sur l’IA tout en opposant son veto à une législation controversée, à la stupeur générale.
Le chaos législatif de 2025 pourrait bien surpasser l’année précédente, prédit Mark Weatherford, un homme qui en connaît un rayon sur la danse de la politique. Cet expert, avec son parcours de Chief Information Security Officer, croit fermement que nos amis du conseil municipal pourraient surprendre autant que l’oncle Georges après quelques verres. Il a récemment rejoint Gretel.ai pour élever les débats sur la sécurité et la vie privée.
Weatherford, véhément promoteur d’une meilleure compréhension technologique au sein des corps législatifs, se montre optimiste. Selon lui, bien que les résolutions politiques avancent à la vitesse d’un escargot en grève, le progrès est inexorable. Le rapport de la Chambre des représentants des États-Unis, avec ses 230 pages savamment torchées, est l’exemple parfait d’une odyssée législative à tâtons.
L’harmonisation des lois est une symphonie difficile à orchestrer, mais nécessaire.
Si vous pensiez que la Californie était le seul État à jouer aux apprentis sorciers avec l’IA, détrompez-vous ! Plus de 400 législations ont été proposées à travers les États-Unis. Le chant des sirènes de l’harmonisation – mot à la mode dans les corridors fédéraux – résonne, car les entreprises, pour éviter la danse des réglementations discordantes, espèrent une mélodie unie.
En 2025, il semble que la tambouille législative sera principalement assaisonnée par les états, avec la Californie en cheffe cuisinière. Leur plat de résistance ? Des lois aussi variées que des tapas, allant du pr0n à la parcelle de données. Mais même le chef Newsom a dû laisser tomber le soufflé AI là où le coût et l’innovation étaient en jeu.
Du côté fédéral, c’est une autre histoire, et pas forcément une comédie. Bien que la convergence d’idées soit rare comme un steak bleu, le besoin urgent de régulation dans le royaume tumultueux de l’IA s’impose. Selon Weatherford, là où vie privée et cybernétique se rencontrent, la politique bipartite peut utilement s’entremêler, même si c’est aussi surprenant qu’un chat jouant du piano.
Est-ce que l’avenir de l’IA passera obligatoirement par des routes bitumées de données synthétiques, comme Weatherford semble le croire ? Peut-être bien. Dans ce dédale législatif, l’harmonisation devient un défi orchestré par des individus qui jonglent entre les idées et la technologie.
En définitive, comme la Commission Européenne face aux gâteaux anglais, les défis aplanis laisseront place à des initiatives culinaires nouvelles, et les régulations à venir pourraient bien nous transformer tous en fins cuisiniers de l’information.
Et comme on dit toujours en harmonisant le cloud et les lois : la Californie mène la danse des saucisses, mais attention aux pépins, car on risquerait de mordre dans une surprise législative !
Source : Techcrunch
