N’est-ce pas Einstein qui disait : « La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent » ? Tout cela doit faire marrer les venture capitalists, coincés dans une boucle spatio-temporelle de taxe et d’investissements !
Jeudi dernier, le Président Trump a décidé de revisiter ses classiques en appelant ses partenaires républicains à supprimer les avantages fiscaux sur les intérêts portés. Ce stratagème fiscal malin, digne d’un casse-tête de la Silicon Valley, permet aux gestionnaires de fonds privés de payer moins de taxes sur leurs gains d’investissements. Chic, non ?
La suppression de cette déduction fiscale serait un sacré coup dur pour le monde aventureux des investisseurs en capital-risque. Bobby Franklin, grand manitou de la NVCA, affirme que ces intérêts portés, c’est de l’alchimie moderne : transformer de l’argent en or pour les startups assoiffées de croissance !
Changer les règles fiscales, c’est comme vouloir mettre un parachute à un bolide en plein vol.
La réalité, c’est que Trump avait déjà agité le spectre de la suppression de cette faille fiscale pendant sa campagne en 2016. Pourtant, sa baguette magique fiscale de 2017 n’avait fait qu’étirer le délai pour obtenir ces fameux taux préférentiels de un à trois ans ! Une valse bien orchestrée qui joue en harmonie avec les standards des firmes de capital-risque habituées à patienter sagement.
Grâce à sa politique fiscale de 2017, le concert d’investissements a eu pour choristes des techno-futuristes dans les domaines de l’IA, de la crypto, et même dans la défense nationale. Freddy Franklin, lui, chante haut et fort que tout changement serait un désastre pour les petits investisseurs, surtout ceux du Midwest. Pourtant, à en croire les chiffres, les capitaux n’en ont que pour New York et la Californie du Nord.
En conclusion, l’appel de Trump ressemble plus à une ritournelle déjà entendue qu’à une vraie symphonie du changement. Et comme Wolowitz de Big Bang Theory pourrait dire : « Pourquoi s’attaquer aux étoiles quand on peut rêver de les atteindre ! » Sur cette note cosmique, souvenons-nous que la fiscalité, c’est comme un code source : le modifier, c’est souvent ouvrir la boîte de Pandore.
Source : Techcrunch