« Changer d’avis est le droit le plus sacré de chaque âme », disait René Descartes… enfin, probablement. Ce bon vieux John Schulman semble avoir pris ce précepte à cœur en réalisant un tour du monde, ou plutôt du secteur technologique, assez impressionnant. La dernière rumeur court qu’il aurait rejoint la mystérieuse Mira Murati dans sa quête secrète vers l’IA suprême. Oui, vous avez bien entendu, notre insaisissable cofondateur d’OpenAI a une fois de plus plié bagage, quittant Anthropic plus vite que l’ombre d’un robot!
Bien que son nouveau rôle reste aussi flou qu’un écran tactile poussiéreux, l’énigmatique startup de Murati semble se transformer peu à peu en arche de Noé d’ex-employés d’OpenAI. Parmi ceux qui ont pris le navire, on trouve Christian Gibson, ancien géant parmi les géants dans l’équipe de supercalcul d’OpenAI. Tout ce dramatisme donne des airs de série télé, n’est-ce pas ?
Et ce n’est pas fini! En octobre dernier, Murati discutait stratégie et millions avec des investisseurs pour remplir le cochon-tirelire de son entreprise. On parle de plus de 100 millions de dollars. Si vous cherchez une série de fintech à suivre, prenez votre pop-corn et attachez vos ceintures!
Quand une porte se ferme, une autre s’ouvre… ou se dématérialise!
Quant à notre cher Schulman, il avait proclamé haut et fort son départ d’OpenAI pour Anthropic sur X (anciennement Twitter, mais vous savez, les nouvelles modes…), en vantant un désir profond de plonger dans les eaux troubles de l’alignement de l’IA. Ah, l’alignement… une science qui prétend faire chanter les intelligences artificielles à l’unisson de nos volontés!
Mais, soyons honnêtes, qui n’aime pas un bon rebondissement de carrière dans le monde palpitant de la technologie? Ce qu’on peut en conclure, c’est que John Schulman a le chic pour mettre du piment dans la sauce tech. Espérons simplement que cette fois-ci, le rythme s’intensifie, plutôt que de ralentir.
Vous voyez, dans le monde de la technologie, les choses ne sont jamais ce qu’elles semblent être. Le next big thing? Peut-être là où vous vous y attendez le moins. Et pour finir avec une touche légère, osons dire que John Schulman a vraiment l’art du « switch » tel un joueur de tennis maladroit, touchant le filet autant que les lignes de fond!
Source : Techcrunch
