Comme disait un génie de la tech : « Si tout le monde est contre vous, peut-être êtes-vous l’antagoniste… ou juste Mark Zuckerberg ». Voilà une pensée qui résume bien l’ambiance tumultueuse planant autour de Meta ces derniers temps.
En effet, un groupe de députés démocrates des États-Unis s’est lancé dans une danse endiablée en direction de Mark Zuckerberg. Leur pas de danse ? Une lettre bien sentie, exigeant des réponses sur les changements de politiques de Meta qui, disons-le franchement, donnent plus l’impression de vouloir charmer l’administration Trump que de protéger la planète Facebook. Au cœur des préoccupations : l’assouplissement des règles de modération, l’abandon des programmes de diversité et la suppression des vérifications par des tiers. Rien que ça !
Le courrier, d’un ton vif et direct, évoque que ces changements créent une ambiance où « les menaces de répression » de Trump semblent avoir rythmé la valse de Zuckerberg. Oui, nous aussi on a cette image mentale du PDG discutant danois avec les représentants de Trump sur le dossier antitrust de la FTC. Certaines choses ne s’inventent pas.
Zuckerberg, dans la tourmente, doit se demander si ses choix mènent Meta au sommet ou à la déroute.
Les députés n’en restent pas là et soulignent les contradictions dans les discours passés de Zuckerberg. L’amaloque résultante est la transformation du Conseil de Surveillance, autrefois clair comme une aube prometteuse de responsabilité, en un instrument sans dents. Et ça, mesdames et messieurs, ça se voit quand on regarde de près !
Coup de théâtre ou simple rebondissement, Zuckerberg, accusé de propager une « énergie masculine » dans ses déclarations publiques, se retrouve plongé dans la mer des contradictions. Meta, dirigée par un ensemble dynamique de femmes aux postes clés, semble avoir un profil sensiblement en décalage avec ce credo musclé. Les mystères de la tech, on vous dit !
Au final, Zuckerberg a jusqu’au 21 février 2025 pour se justifier. En attendant, un porte-parole de Meta a expliqué à Engadget que tout a déjà été dit. Nous imaginons Zuck, derrière une tasse de café, méditant si un retour à la simplicité des anciens réseaux sociaux (MySpace, quelqu’un ?) ne serait pas la solution. Parce qu’en fin de compte, dans l’univers de Meta, tout ne tient qu’à un fil… numérique.
Source : Engadget