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Credits image : Pablo Heimplatz / Unsplash

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CyberUnLee-veliable: Quand la presse se fait hacker

« Si une imprimante et un ordinateur se disputent, on dit qu’ils ont une connexion tendue. » C’est un peu l’ambiance chez Lee Enterprises, géant de la presse outre-Atlantique, qui se retrouve au cœur d’une tempête numérique après une cyberattaque spectaculaire. Oui, vous avez bien entendu, dans un monde où les nouvelles voyagent plus vite qu’un tweet viral, même les journaux ne sont pas à l’abri des assauts numériques.

Le vendredi fatidique où Kevin Mowbray, le PDG de Lee Enterprises, a expédié un courriel aux clients, il devait certainement imaginer que son message ferait un peu plus de vagues que la mer agitée d’un navigateur lent. L’attaque, qui, soyons honnêtes, est probablement le coup le plus excitant depuis l’apparition de Wordle, a semé la pagaille dans les rouages de plusieurs publications à travers les États-Unis. Pauvre Lee, c’est comme si quelqu’un avait renversé leur café sur le clavier : perturbation garantie!

Tracy Rouch, la porte-parole du groupe, a confirmé l’événement –– quoique le mot « cyberattaque » a dû sonner comme un superbe suspense hollywoodien dans sa bouche. Et pendant que l’on s’interroge encore sur les raisons incertaines, certains des plus grands secrets journalistiques pourraient bien se promener dans le cyberespace en quête de leur nouvelle cachette.

Malgré les pirates informatiques, les pages s’impriment… pour l’instant !

Les publications de Lee, dont le St. Louis Post-Dispatch, ont dû faire avec des ajustements dans leurs éditions, un peu à la manière dont un chef improvise quand le plat du jour devient trop salé. On raconte que la Star-Tribune à Casper a été attaquée au point que même les articles sur leurs sites web avaient dû rétrécir –– un effet secondaire plutôt inattendu de ce théâtre numérique. Mais que les lecteurs se rassurent, le show doit continuer, même si certaines pages se font tirer l’éditorial par le col.

En vérité, Lee semble coincé entre des disques durs et des logiciels, avec tous ces systèmes se transformant en apparitions mystiques et désintégrant leurs processus usuels. Et comme le dirait un employé de la maison, « Adieu VPN, bonjour stress ! ». Pendant ce temps, l’eau coule sous les ponts de leurs anciens troubles, mais cette nouvelle mésaventure numérique a décidément le goût d’un remix inédit.

Malgré tous ces remous, la conférence téléphonique pour discuter des bénéfices trimestriels de Lee a eu lieu cette semaine, signalant que tout n’était pas perdu. Mais l’incident a remis sur la table cette vieille sagesse : les attaques numériques, comme les bus, arrivent toujours par deux. Oui, déjà cinq ans se sont écoulés depuis que des pirates iraniens ont joué aux monarques de l’information en infiltrant le système de gestion de contenu de Lee. Comme quoi, même dans la technologie, l’histoire aime se répéter.

En résumé, Lee Enterprises se démène pour remettre de l’ordre dans ses logiciels, comme un père survolté essayant de plier une tente récalcitrante. Et pendant ce temps, nous, spectateurs privilégiés de cette saga cybernétique, nous attendons que le rideau tombe, espérant que les journaux retrouvent un semblant de paix –– ou à défaut, un humour pour passer à travers. Mais qui sait, après tout, dans le cyberespace, même les meilleures histoires naissent grâce à des bugs imprévus.

Source : Techcrunch

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