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Credits image : Scott Graham / Unsplash

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Espions en l’air!

Comme disait ma grand-mère, « si tu as l’impression d’être suivi par un logiciel espion, ce n’est pas une impression »… ou peut-être que c’était un agent secret qui disait ça. Quoi qu’il en soit, les nouvelles du jour sont un peu dignes d’un thriller high-tech.

L’information qui virevolte dans les airs comme un drone en folie concerne Beppe Caccia, cofondateur de Mediterranea Saving Humans. Cet homme, qui semblait déjà avoir plein de soucis en mer avec son ONG italienne dédiée à sauver des vies, est maintenant embarqué dans une aventure numérique. D’après ses déclarations, il aurait été la cible d’un logiciel espion conçu par la société israélienne Paragon via WhatsApp. On dirait que la messagerie instantanée n’a pas été très instantanée sur la sécurité!

En fait, Beppe n’est pas le seul dans cette galère virtuelle. Avant lui, Luca Casarini, un autre cofondateur de l’ONG, avait reçu une notification WhatsApp tout aussi inquiétante. À croire que parmi leurs activités humanitaires, il faudrait songer à rajouter une expertise en cyber-sécurité. Dernièrement, lors d’une conférence de presse, Casarini a annoncé avoir déposé une plainte auprès du procureur de Palerme. Son objectif? Comprendre qui pourrait bien leur en vouloir au point de les espionner. Un mystère, plus épais que la sauce tomate sur une pizza napolitaine, ne trouvez-vous pas?

« Il semble que pour Caccia et ses amis, le ciel ne soit pas en train de leur tomber sur la tête, mais bien un nuage de spyware ! »

Avant que vous ne fermiez cet article en pensant que ce n’est qu’une anecdote, sachez que trois autres personnes ont aussi levé la main, partageant leurs notifications angoissantes. Parmi eux, Francesco Cancellato, un directeur de site d’information, et Husam El Gomati, un militant libyen basé en Suède et critiquant les traitements des immigrants. WhatsApp a coupé l’herbe sous le pied de cette campagne d’espionnage dès janvier, mais sans en désigner le commanditaire. Et étrangement, tel un fantôme, Paragon reste silencieux. Qui aurait cru que le silence pouvait être aussi assourdissant?

L’Italie clame haut et fort son innocence. Le gouvernement assure que leurs agences de renseignement respectent la légalité, donc ce n’est pas de leur côté qu’il faut chercher les masques de carnaval de Venise dans cette affaire. Pourtant, le mystère s’épaissit, car d’après Meta, il y aurait d’autres cibles dans toute l’Europe. Malheureusement, toutes les ambassades contactées semblent aussi hermétiques qu’un coffre-fort suisse.

Finalement, alors que le rideau semble doucement retomber sur ce drame numérique, David Yambio, un autre co-fondateur d’une ONG, partage qu’il a lui aussi été ciblé, mais pas par WhatsApp, cette fois par une attaque via Apple. Et là, on atteint le pic du suspense : Yambio fait-il partie de la même voile de mystère que le groupe Paragon? Mystère mystère…

Alors, cher lecteur, souvenons-nous, tout n’est pas toujours tel qu’il semble. Il y a toujours un soupçon de techno-magie en jeu, et parfois, même votre téléphone pourrait vous en faire voir de toutes les couleurs. Qui auriez-vous cru? À moins que ce ne soit un poisson d’avril avant l’heure.

Enfin, la technologie a beau être complexe et mystérieuse, rappelez-vous : « l’important, ce n’est pas la destination, mais l’espionnage en cours de route ». Ou quelque chose comme ça!

Source : Techcrunch

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