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Credits image : ZHENYU LUO / Unsplash

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OpenAI-ci, OpenAI-là, où donc va l’éthique de l’IA ?

« Dans le monde de la technologie, les faux pas sont aussi fréquents que les mises à jour logicielles », disait un célèbre ingénieur. Et le monde de l’IA ne fait certainement pas exception, avec son lot d’histoires intrigantes et bouleversantes.

Suchir Balaji, ancien employé chez OpenAI, a récemment été découvert mort dans son appartement de San Francisco le 26 novembre. Si sa famille soupçonnait un acte criminel, le médecin légiste de la ville a finalement statué un suicide, dissipant la tempête de spéculations née en ligne. Vous savez, la toile mondiale adore se transformer en Cluedo géant à chaque occasion.

En octobre, Balaji avait déjà fait la une des journaux. Il avait accusé OpenAI d’utiliser illégalement des documents protégés par droits d’auteur pour entraîner ses modèles d’IA, partageant ainsi ses inquiétudes avec le Times. Cela l’avait propulsé sur le devant de la scène en tant que figure clé avec des « documents uniques et pertinents » dans le cadre de la poursuite du journal contre OpenAI. Et tout comme une boule de neige dévalant une montagne, les accusations entourant OpenAI ont continué à grossir, avec des éditeurs et artistes s’engouffrant également dans la brèche.

L’affaire Balaji met en lumière la pression immense pesant sur ceux qui osent souffler dans le fameux sifflet de Silicon Valley.

Quelques jours avant sa disparition, Balaji, décrivent ses parents, était plein d’optimisme, fêtant son 26e anniversaire et mûrissant un projet de non-lucratif en apprentissage automatique. Sa disparition soudaine a attiré l’attention de figures telles qu’Elon Musk et Tucker Carlson, tandis que le député Ro Khanna réclamait une enquête « complète et transparente ». Comme quoi, dans la Silicon Valley, disparaître peut faire plus de bruit qu’un lancement de fusée.

La mort de Balaji — d’une balle autoinfligée, selon le rapport du médecin légiste du comté de San Francisco — est devenue un point de cristallisation dans les débats sur l’éthique de l’IA, la responsabilité des entreprises, et les dangers encourus par les lanceurs d’alerte. Que ces discussions parviennent à démêler tout cela, l’avenir nous le dira, mais une chose est sûre : le monde de la tech a encore du pain sur la planche — et pas nécessairement sans gluten.

Source : Techcrunch

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