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Credits image : Becca Tapert / Unsplash

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Un Air de Liberté pour les Modèles d’IA

« Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? » Cette citation de Jacques Rouxel résume bien les nouvelles ambitions d’OpenAI. L’entreprise annonce un changement révolutionnaire de sa politique de formation des modèles d’IA, visant à embrasser la liberté intellectuelle, même pour les sujets les plus épineux.

Dans un geste audacieux, OpenAI promet que ChatGPT sera bientôt capable de répondre à plus de questions, en offrant des perspectives variées et en réduisant les sujet dont il reste bouche bée. La mise à jour de leur « Model Spec » pose comme principe guide de ne pas mentir, ni par omission ni par fausse déclaration. Voilà qui promet de remuer l’internet autant qu’un yaourt oublié au fond du frigo !

Alors qu’OpenAI désire libérer les réponses de ChatGPT, certains pensent que tout cela pourrait être une tentative de se mettre en accord avec la nouvelle administration Trump. Pourtant, OpenAI clame que ces changements reflètent leur croyance de longue date en une plus grande liberté pour les utilisateurs.

Au pays des IA, la vérité est parfois plus étrange que la fiction.

Ce changement s’inscrit dans un paysage en évolution à Silicon Valley, où ce qui est perçu comme étant la sécurité de l’IA est sujet à redéfinition. OpenAI adopte une position où ChatGPT reste neutre même sur les sujets les plus controversés, prêt à jongler avec les perspectives comme un clown jongle avec des quilles en feu. Toutefois, OpenAI précise que ChatGPT ne répondra toujours pas aux questions franchement inappropriées, conservant une réserve de bienvenue contre la propagande éhontée.

Le carrousel tourne, et certains des fidèles lieutenant de Trump comme David Sacks et Elon Musk accusent OpenAI de censure délibérée. Sam Altman, tout sourire, déclare qu’il s’agit simplement d’une lacune temporaire bientôt en réparation, et que tous verront bientôt leurs points de vue aussi respectés que celui d’un philosophe au coin du feu.

Pendant ce temps, le vent tourne aussi pour des géants comme Meta, qui orientent leur business autour du sacro-saint Premier Amendement. Penser que l’avenir des IA ne sera tout simplement plus aussi simpliste que de laisser une IA produire une poésie est un pas vers une plus grande responsabilité des utilisateurs dans ce que l’avenir nous réserve.

Alors que ces titans technologiques revoient leurs copies et ajustent leur cap, OpenAI s’affirme comme une entreprise visant à faire parler le monde entier. Dominer Google Search peut attendre, leur priorité est désormais de composer un opéra choral d’opinions, sur la vaste scène numérique de notre époque. Après tout, pourquoi avoir une seule note quand on peut avoir toute la symphonie ?

En somme, OpenAI tente de s’ancrer dans les cœurs et les esprits avec le remaniement de ses priorités. Même si les débats houleux pointent à l’horizon, affirmer que « tout le monde compte » tout en mettant un pied de chaque côté du débat sera assurément une danse sur la corde raide. Mais qu’importe, tant que tout le monde y trouve son compte ! Alors, prêt pour une symphonie d’échanges cérébraux ?

Et pour clore cet article en beauté, laissons place à une petite blague : Pourquoi les IA détestent-elles les maths ? Parce qu’elles détestent les problèmes !

Source : Techcrunch

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