« Il semble que l’IA soit la nouvelle religion : tout le monde veut sa propre église. » Mira Murati, ex-CTO d’OpenAI et star montante de la tech, se lance dans le game avec sa startup non moins mystérieuse qu’ambitieuse : Thinking Machines Lab. Le nom n’est pas anodin : ici, on réfléchit avant tout !
Fraîchement sortie de l’ombre, Thinking Machines Lab ambitionne de construire des outils pour rendre l’IA plus personnalisée et adaptable aux besoins individuels. Oubliez les modèles rigides et standards, l’idée est de développer des systèmes intelligents qui soient aussi malléables que de la pâte à modeler numérique. Accompagnée de John Schulman, cofondateur d’OpenAI, et de Barret Zoph, ancien chef de la recherche, Mira Murati forme la dream team de penseurs modernes.
L’IA a beau avancer à la vitesse d’une étoile filante, il reste encore des « trous noirs » dans sa compréhension. Le blog de Thinking Machines Lab souligne que le savoir reste bien trop concentré dans les plus grands laboratoires de recherche, limitant ainsi le dialogue public et la capacité des utilisateurs à bien s’approprier l’IA. Leurs systèmes, en revanche, promettent d’être polyvalents, collant à la diversité des expertises humaines comme du velcro sur une chaussette.
Mira Murati fait table rase pour recréer l’IA en la rendant plus humaine et moins mécanique.
Et ce n’est pas tout ! Thinking Machines Lab semble marcher sur les traces d’un bâtisseur de cathédrales avec une priorité : la sécurité de l’IA. Prévenir les mauvais usages et partager les bonnes pratiques sont au menu, histoire de construire un avenir où l’IA est aussi sûre qu’une cocotte-minute bien fermée. Reste à voir si le système atteindra de nouvelles découvertes scientifiques ou des percées en ingénierie dont même Einstein se serait régalé.
Après un passage éclatant chez OpenAI, où elle a collaboré sur des projets phares comme ChatGPT et DALL-E, Murati, aventurière dans l’âme, a pris le large pour explorer de nouvelles contrées. Alors que les rumeurs vont bon train sur ses levées de fonds potentialisées, elle reste énigmatique, comme une équation à une inconnue.
Le curriculum de Murati est aussi varié que les filtres Instagram de votre cousine : de Tesla à Leap Motion, elle semble accumuler les expériences telles des niveaux de jeu vidéo. Elle n’est pas la seule à quitter le nid OpenAI, suivie par d’autres anciens execs tels que Ilya Sutskever, emportés par cette vague de startups IA, chacune visant son propre Graal technologique.
En définitive, avec Thinking Machines Lab, la compétition va chercher à convertir les sceptiques de l’IA à cette « religion 2.0 ». Une ambition avec des contours flous, mais un message clair : rendre l’IA aussi adaptable qu’un caméléon sous caféine ! On dirait bien que l’IA va enfin apprendre à cliquer avec tout le monde, et pas seulement sur « J’accepte » !
Source : Techcrunch
