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Credits image : Matthew Henry / Unsplash

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Solaire flair et nucléaire flair : Qui domine le compteur ?

“L’énergie, c’est comme une pizza : elle est meilleure quand elle est bien répartie.” Vous êtes-vous déjà demandé combien de rayons de soleil il faudrait pour allumer votre télé ? Eh bien, l’Amérique l’a découvert l’année dernière en investissant 338 milliards de dollars dans la transition énergétique. Pas mal, hein ? Mais, pas de bol, ce n’était pas assez pour freiner les émissions de CO2 du pays.

La star du show, c’est le solaire qui brille de mille feux avec ses 49 gigawatts de nouvelle capacité électrique en 2024. Le solaire et l’éolien ensemble titillent désormais presque un quart de la demande électrique. Pourtant, pendant que le soleil brillait et que le vent soufflait, le gaz naturel faisait son petit bonhomme de chemin. Sa demande a grimpé de 1.3%, poussant les émissions de carbone américaines à la hausse, de juste un petit 0.5%.

Toutes ces nouvelles font surface alors que les États-Unis se tiennent à un carrefour environnemental. Depuis 2005, leurs émissions de carbone ont chuté de 16%, et celles liées à la production électrique de plus de 40%. Bravo l’Oncle Sam ! Pourtant, pendant que l’Amérique se félicite, l’avenir semble électrique : une demande exponentielle attendue pour la décennie à venir.

Les États-Unis soufflent le chaud et le froid : solaire d’un côté, gaz de l’autre.

Attention les yeux, c’est l’Intelligence Artificielle qui dope la demande. Les géants de la tech posent leurs serviettes sur d’immenses centres de données, carburant leurs rêves d’IA. Pourtant, à la vitesse où ça va, la moitié des serveurs IA lancés d’ici 2027 pourraient manquer de jus. Pas question de couper le courant de leur futur.

En réponse, Microsoft, Google, et Amazon ont mis leurs pions sur le nucléaire. Ces mastodontes investissent dans des startups innovantes comme Kairos et X-Energy et redonnent vie à d’anciens réacteurs. Pourquoi ? Parce que le nucléaire, c’est écolo-bobo-friendly en n’émettant pas directement de CO2 ni autres gaz à effet de serre.

Ce n’est pas tout ! Comme le dirait une émission télé bien connue, « Mais attendez, il y a plus ! ». Ces grandes pointures tech actent également dans les énergies renouvelables. En 2025, pour le bien-être énergétique de ses centres de données, Amazon va ajouter 476 mégawatts, pendant que Meta, non sans éclat, a décroché des deals solaires de 200 MW ici et de 595 MW là. Le solaire, c’est un peu comme le fast-food de l’énergie : rapide et abordable.

La tech est prête à gratter quelques mégawatts supplémentaires par-ci par-là avec des astuces d’efficacité. Des ajustements habiles, comme planifier les tâches informatiques quand la demande est moindre, pourraient libérer 76 gigawatts de capacité en douce dans le pays. N’est-ce pas magique ? Pourtant, malgré leur détermination, les États-Unis restent en arrière. Là où allez voir chez eux, la Chine avait la main plus lourde, dépensant 4.4% de son PIB dans la transition énergétique comparé aux 1.3% des États-Unis.

Finissons sur une bonne note : « Les États-Unis tentent de se brancher, mais la Chine garde toujours un fil d’avance ! »

Source : Techcrunch

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