« Vous savez, la technologie, c’est comme un bon vin : ça vieillit bien, sauf quand ça plante. » Voici une phrase qui pourrait résumer l’incroyable voyage au pays des merveilles technologiques qu’est la GPU Technology Conference (GTC) de NVIDIA. Cet événement, qui se tiendra du 17 au 21 mars à San José, résume tout ce qu’on adore chez NVIDIA – même si, soyons honnêtes, comprendre les intervenants est souvent comme essayer d’installer une imprimante un dimanche après-midi : compliqué.
Le GTC est l’occasion de découvrir ce dont NVIDIA rêve la nuit (et peut-être aussi le jour). Au programme, des thématiques variées qui passe de l’informatique quantique à une IA « physique », en passant par la robotique et l’« AI Agentic ». Le chef d’orchestre de tout cela, le célèbre Jensen Huang, promet une performance digne d’un concert de rock, avec une discussion riche en neurones qui s’articulera avec des têtes pensantes de Microsoft et Amazon. Si vos neurones ne frémissent pas encore à l’évocation de ces termes, il est peut-être temps de se mettre à jour.
Mais ne soyez pas dupes. Malgré ses allures de sabbat des sorciers de l’IA, le GTC est essentiellement une danse de développeurs suant sous la pression des ateliers, des labs de formation et des dîners avec des inconnus – sans hochets de magicien, juste une montagne de listes de choses à faire. C’est comme une version glorifiée de votre réunion de famille où le tonton techy (ici, NVIDIA) est la star.
Certaines attentes font autant de bruit qu’un RTX qui tournoie dans son boîtier.
La grande scène attend impatiemment les annonces en matière d’intelligence artificielle, un secteur où NVIDIA est aussi à l’aise qu’un poisson dans l’eau. Après tout, depuis que Wall Street a couronné l’entreprise « chouchoute », jamais les projecteurs n’ont autant illuminé ses tenants et aboutissants. De quoi faire rougir Mr. GPU lui-même.
Pour ce GTC 2025, on attend que NVIDIA tire une carte maîtresse de sa manche quantique. Peut-être son fameux Blackwell GPU, prêt à faire palpitez chaque cœur numérique à coup de performances extraordinaires. Ou alors un bond en avant dans ses projets automobiles et robotiques. Mais attention, la concurrence rugit – entre le modèle de raisonnement de DeepSeek et les dernières frictions des lancements RTX, NVIDIA devra tenir la barre fermement.
En somme, l’heure est grave pour Jensen Huang, qui espère que les confettis tomberont à l’issue de ses nouvelles révélations. Avec l’espoir d’entendre, tel un refrain nostalgique, une marée d’applaudissements et d’exclamations enthousiastes sur le futur de la tech. Espérons que le fondateur de NVIDIA saura nous sortir un clou de son chapeau sans que ce soit un chapeau de magicien troué.
Et si jamais le tout devient trop intense, souvenez-vous : ce n’est que de la physique… quantique. Allez, bonne chance pour comprendre tout ça sans qu’une nappe de debug ne vienne tout écraser dans vos rêves technologiques !
Source : Engadget
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