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Credits image : Patrick Tomasso / Unsplash

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Les Étoiles Mènent la Mêlée de Méthyle

« Dans l’espace, personne ne vous entendra dire : ‘Vous avez encore perdu vos clés de fusée?' »

Face à l’absence de vaisseaux capables de voyager vers les recoins reculés de notre univers, nos scientifiques préférés se sont replongés dans leurs grimoires. Leur nouvelle trouvaille pour chercher des aliens? Les halogénures de méthyle ! Si si, vous avez bien entendu. C’est avec l’aide de notre super télescope spatial, le génial James Webb, que nos experts espèrent dénicher des signes de vie extraterrestre cachés à des années-lumière de nous.

Ces molécules, composées de carbone, d’hydrogène et, bien sûr, de cet halogène préféré, ressemblent à des petits voyants rouges pour la vie. La magie opère surtout sur des atmosphères riches en hydrogène, qui forment ce qu’on appelle les planètes hycéennes — un peu comme les sous-Neptunes, mais en mieux ! Et devinez quoi ? Leur taille légèrement plus imposante les rend plus faciles à observer (non, on ne fait pas de discrimination de taille, promis).

Les halogénures de méthyle pourraient bien se révéler être les nouveaux « Where’s Waldo » interstellaires!

En parlant de temps, il suffit de 13 heures pour que le télescope James Webb détecte ces gaz, bien plus efficace que la recherche de bons vieux oxygène et méthane. Moins de temps de télescope, plus d’économies ! C’est Michaela Leung, cheffe d’orchestre de cette symphonie spatiale à l’Université de Californie à Riverside, qui partage ses réflexions éclairées.

La dernière trouvaille en vogue, K2-18 b, avait semé la discorde en 2023 parmi les spécialistes des mondes habitables. De gros débats autour de la question : peut-on vraiment espérer une soirée barbecue sur une planète océanique remplie d’ammoniaque ?

Aucun microbe ne viendra gâcher notre fête: même si ces planètes ne sont pas encore prêtes à accueillir notre barbecue spatial, si on trouve réellement ces fameux halogénures, on pourrait bien être sur le point de renouer avec nos ancêtres microbiens à travers l’Univers. Et qui sait, peut-être que nous ne sommes vraiment que des poussières d’étoiles gérées par des bactéries.

Source : Mashable

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