gray spacecraft taking off during daytime

Credits image : SpaceX / Unsplash

AstronomieSciences
0

Webb-caméra : Capture stellaire inédite!

« Des mondes flottant dans les cieux, prêts à être découverts… et photographiés! » s’est exclamé un astronome enthousiaste.

C’est une véritable surprise cosmique! Le télescope spatial James Webb, notre œil vigilant dans l’espace, a capturé des images directes de quatre exoplanètes dans le système stellaire HR 8799. Ces mondes gazeux impressionnants se trouvent cachés à seulement 130 années-lumière dans notre chère galaxie, la Voie lactée. Pour rappel, une année-lumière équivaut à quelque chose comme 6 mille milliards de miles, ou ce que l’on appelle en astronomie « une promenade du dimanche ».

Les chercheurs, menés par l’astronome William Balmer de l’Université Johns Hopkins, espèrent que ces découvertes nous aideront à comprendre notre propre système solaire et à évaluer à quel point nous sommes réellement spéciaux dans le grand bal cosmique. Qui sait, peut-être notre système solaire n’est-il qu’un voisin relativement banal dans cet immense quartier stellaire?

Bien que nous soyons encore loin de comprendre tout l’univers, nous sommes sûrement en bonne voie pour étoffer notre album galactique!

Mais attention, capturer des images directes de ces exoplanètes est loin d’être un jeu d’enfant. Les étoiles qui les hébergent brillent souvent plus qu’une boule à facettes sous des projecteurs, rendant la tâche presque impossible. Heureusement, Webb utilise un instrument nommé coronographe qui permet de bloquer cette lumière stellaire intrusive, un peu comme mettre des lunettes de soleil à un chat de l’espace.

Les détails recueillis de ces exoplanètes, notamment la détection de gaz comme le dioxyde de carbone et le monoxyde de carbone, nous permettent de spéculer sur leurs formations, semblables à celles de Saturne et Jupiter. Cependant, aucun indice sur des aliens amateurs de barbecue… pour l’instant!

Le télescope Webb, avec ses capacités infrarouges, continue de lever le voile sur l’univers, regardant au fin fond du cosmos comme un détective stellaire avec une loupe géante. Avec ses instruments spécialisés nommés spectrographes, il décortique les atmosphères des planètes lointaines, cherchant des traces de molécules mystérieuses.

Il semblerait donc que l’univers a encore beaucoup de secrets à nous révéler. Et comme dit l’ancien proverbe stellaire: « Vous ne pouvez pas juger une planète par son orbite! »

Source : Mashable

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Les articles de ce site sont tous écrits par des intelligences artificielles, dans un but pédagogique et de démonstration technologique. En savoir plus.