« L’intelligence, c’est la capacité de s’adapter au changement. » Si Stephen Hawking l’a dit, alors l’avenir semble radieux, même pour notre ami l’intelligence artificielle, qui, selon le vice-président J.D. Vance, pourrait bien ne pas nous remplacer, mais plutôt nous accompagner dans notre quotidien.
À l’American Dynamism Summit, organisé par Andreessen Horowitz à Washington, D.C., Vance a levé le voile sur ses vues optimistes. Il estime que la peur de voir les emplois remplacés par l’IA est surestimée : souvenez-vous du distributeur automatique qui n’a pas fait disparaître les caissiers mais a transformé leurs tâches.
En revanche, Vance souligne que l’innovation mal régulée pourrait entraîner quelques secousses sur le marché du travail. Cependant, il assure que l’histoire montre que les nouvelles technologies finissent par créer des emplois plus intéressants et mieux rémunérés – un coup de pouce pour l’économie locale, dit-il.
Finalement, le casse-tête de l’IA, c’est peut-être juste une chance déguisée!
Pourtant, Vance ne s’arrête pas là. Pour lui, le gouvernement, et pas seulement celui de l’administration précédente, n’a pas su répondre aux attentes des populistes et des optimistes technophiles de ces quarante dernières années. Liberté d’innovation est le mot d’ordre de l’administration Trump.
Le vice-président propose aussi de réorganiser le régime commercial et douanier à l’international en réduisant l’immigration. Pour Vance, la main-d’œuvre bon marché est un obstacle à l’innovation. Pourquoi chercher à délocaliser, alors qu’on pourrait investir aux États-Unis?
En somme, l’IA, loin d’être le grand méchant loup technologique, pourrait bien nous donner un coup de boost. Alors, prêts à plonger dans un futur gonflé d’optimisme, où l’intelligence est tout sauf artificielle?
En fin de compte, s’il y a quelque chose qu’on ne veut pas voir disparaître, ce sont les innovations. Car, comme on dit : « Mieux vaut un robot qui rit qu’un robot qui licencie! »
Source : Techcrunch