« Quand on tire sur une ficelle, ça finit toujours par se dénouer quelque part », disait mon oncle Albert, un bricoleur avisé. Et semble-t-il, chez OpenAI, ils ont tiré un peu fort sur la ficelle! Lundi, Sam Altman, le grand chef de l’intelligence artificielle, a annoncé que leur toute nouvelle boîte à images dans ChatGPT, aussi magique qu’elle soit, créait quelques embouteillages imprévus dans leur garage technologique.
Altman a admis sans détour que cette popularité soudaine nous ferait attendre de leurs nouvelles créations. Imaginez, de nouvelles sorties repoussées, des bugs qui surgissent à l’infini, et un service en mode escargot! Mais ne vous inquiétez pas, l’équipe est bien plus rapide qu’un livreur de pizza en retard pour relancer la machine.
Le coup d’éclat d’OpenAI, c’est cette technologie qui, telle un caméléon digital, peut recréer des styles artistiques variés, y compris celui de chez Studio Ghibli – une prouesse qui n’est pas passée inaperçue. Mais voilà, telle l’apprentie sorcière qui joue avec le chaudron, eux non plus n’étaient pas préparés à l’engouement. Les équipes ont dû sacrifier nuits et week-ends pour maintenir le service à flot et éviter que le navire ne prenne l’eau.
Même les magiciens de la tech doivent parfois sortir leur baguette de patience.
En seulement une heure, un million de nouveaux utilisateurs ont rejoint la fête ChatGPT, selon Altman. Imaginez un peu, leur total culmine déjà à 500 millions d’utilisateurs par semaine, et parmi eux, 20 millions ont sorti le billet pour accéder à la version premium. Une véritable émeute virtuelle, armée de pixels et de gifs animés.
Pour soulager les moteurs chauffés à blanc, OpenAI a décidé de ralentir la cadence des utilisateurs gratuits et a momentanément débranché la prise des génération vidéos pour les nouveaux adeptes de Sora, leur collection d’outils médiatiques d’IA pas piquée des hannetons.
La technologie, mesdames et messieurs, même avec tous ses bottes secrètes, a parfois besoin d’une bonne tasse de thé et d’un petit remontant pour repartir de plus belle. Après tout, rien ne sert de coder, il faut partir à point! Allez, finissons avec une blagounette car les temps difficiles appellent à des sourires : suivant cette logique, leur prochaine mise à jour s’appellerait peut-être « ChatGPT-4 : La Revanche des Serveurs ».
Source : Techcrunch
