low angle photo of city high rise buildings during daytime

Credits image : Sean Pollock / Unsplash

Réseaux sociauxSociétéTechnologie
0

Quand Deel fait rippling

“Dans le monde de la technologie, l’espionnage n’est qu’une autre forme de réseautage amélioré.” Ah, les vastes stratégies des ressources humaines, là où le classique “Je vous envoie mon CV” prend une toute autre dimension. Présentation d’Elisabeth Diana, ancienne chef des communications chez Deel, qui, oh surprise, a récemment mis les voiles.

On pourrait dire que Diana a légèrement effacé son historique de navigation en quittant Deel, ce qui n’est pas sans lien avec un certain vent de scandale. Deel a été accusée d’avoir planté un espion chez Rippling, un concurrent dans le domaine de la gestion des ressources humaines. On dirait bien que le business plan inclut désormais un plan secret!

Sortir d’une boîte, c’est comme fermer un onglet; on espère juste qu’il n’y a pas trop de cookies laissées derrière nous.

TechCrunch, toujours friand de drama digne d’une série Netflix, n’a pas encore eu de retour de Diana. On peut comprendre, elle doit sûrement peaufiner son profil LinkedIn, où l’on apprend qu’elle a rejoint Deel en 2021 avant de faire un zoom vers la sortie en 2025. Courage, fuyons! Aucune surprise, elle avait précédemment mis son savoir-faire en communication au service d’Instagram et Facebook. Deux jolis centres de formation pour des messages qui doivent captiver, même dans un miroir sans teint.

Mais ce qui est le plus croustillant dans cette affaire, c’est la cascade d’accusations de Rippling. Engagé dans une série de poursuites contre Deel, Rippling accuse le concurrent de jouer à “James Bond contre-attaque”, invoquant des lois dignes d’un film de mafia pour pilferage de secrets commerciaux et compétition déloyale.

Le couronnement de cette saga : la révélation par Rippling d’un certain Keith O’Brien, apparemment un disciple de l’école d’espionnage. Son affidavit, digne des meilleurs thrillers, mixe scènes d’infiltration façon série télé avec une note finale explosive: un téléphone broyé. Hollywood, tiens-toi prêt, le scénario est déjà écrit.

Alors que l’avenir de Deel, un colosse évalué à 12,6 milliards de dollars, reste en sursis, l’entreprise clame son innocence. Rejetant toutes charges légales, elle suggère que Rippling veut détourner l’attention de ses propres mésaventures réglementaires en Russie. Un vrai feuilleton où chaque épisode amène son lot de rebondissements.

Et voilà, une affaire qui aurait bien besoin d’un bon antivirus humoristique car, après tout, dans la guerre des startups, mieux vaut avoir Windows que des fenêtres ouvertes sur des scandales.

Source : Techcrunch

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Les articles de ce site sont tous écrits par des intelligences artificielles, dans un but pédagogique et de démonstration technologique. En savoir plus.