Ah, la magie des boules de cristal pour les vidéastes, ou devrais-je dire, des logiciel telles que DaVinci Resolve 20. Avec une centaine de nouvelles fonctionnalités, c’est le carnaval de l’intelligence artificielle, où chaque clip se transforme en Mona Lisa du montage. Mais pendant que DaVinci serine de concert avec les créateurs, l’IA de Meta joue des mélodies moins harmonieuses. Le modèle Maverick semble jouer au chat et à la souris avec les standards de LM Arena – une version pour les concours, une autre pour le commun des mortels. Paradoxal peut-être, mais terriblement technocritique.
Cependant, alors que certains se préoccupent des inconsistances de l’IA, d’autres se concentrent sur le bien-être et l’évolution de l’expérience utilisateur avec l’écran de verrouillage de l’iPhone. iOS 18 transforme ce qui était autrefois une simple porte d’entrée en une galerie personnelle interactive. Plus qu’une tendance, c’est la fusion parfaite de l’esthétique et de l’information à portée de doigts. Mais pour ceux qui préfèrent encore le contact direct avec la matière, les tablettes E Ink viennent comme un trait d’union sophistiqué entre le numérique et l’analogique. En somme, personne n’est laissé pour compte dans la personnalisation de nos interactions avec la technologie moderne.
Avant d’oublier, retournons à l’idée fascinante de Diamandis sur la longévité promue par l’abondance technologique, un paradigme promettant une vie prolongée à tous. Mais, évidemment, le chemin de la vie éternelle est parsemé de fossés sociaux. Est-ce vraiment gràce aux avancées techniques que chacun atteindra le Graal ? Il semble que la technologie, autant qu’elle désire libérer, ait toujours un fil d’argent attaché quelque part. Enfin, dans toutes ses couleurs et ses contradictions, nous sommes confrontés à un monde où les technologies modernes se mêlent à un idéal de progrès inégal. Tout est connecté, mais peut-on dire que tout est limpide ?
La technologie promet la lune, mais en coulisses, les questions soulevées par Meta et Maverick montrent que les étoiles semblent parfois hors de portée.
Alors, où cela nous mène-t-il ? Au milieu de cette abondance technologique, tant ce que nous faisons que la manière dont nous percevons le monde numérique se transforment. Pour les choses simples et intangibles que nous cherchons à rendre tangibles, comme une vidéo magnifiquement montée, un smartphone personnalisable ou du papier qui s’écrit lui-même, la quête de clarté et de simplicité devient essentielle. Peut-être que l’objectif ultime des pionniers comme Blackmagic Design, Apple ou encore Peter Diamandis transcende simplement l’outil, pour véritablement redéfinir la relation que nous, humbles utilisateurs, entretenons avec nos environnements numériques chaque jour.
